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Auteur Géraldine Brausch |
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Réflexions sur l'appropriation de l'espace [livre] / Géraldine Brausch / Groupe & Société - Publication pédagogique d'éducation permanente (C.D.G.A.I.: Centre de Dynamique des Groupes et d'Analyse Institutionnelle asbl) (2014)
Titre : Réflexions sur l'appropriation de l'espace [livre] Type de document : texte imprimé Auteurs : Géraldine Brausch Editeur : Groupe & Société - Publication pédagogique d'éducation permanente (C.D.G.A.I.: Centre de Dynamique des Groupes et d'Analyse Institutionnelle asbl) Année de publication : 2014 Importance : 64 p. Présentation : ill. en coul. Catégories : A:Analyse du graffiti Résumé : Qu’il en fasse la promotion (soutien, diffusion, etc.) ou qu’il l’utilise dans ses dispositifs traditionnels, le secteur socioculturel a adopté le street art. Mais cette adoption ne cesse de questionner. Qu’est-ce que le street art ? Que vient-il faire dans le secteur socio-culturel ? Qu’est-ce que ce secteur peut en faire ? Ce livret propose de questionner le street art comme pratique d’appropriation de l’espace. Il s’agirait de le concevoir comme une manière singulière «d’affirmer son appartenance à un endroit, à une ville», comme une manière aussi d’affirmer un attachement à son environnement. Attachement, appartenance, appropriation, marquage : le street art pourrait être envisagé comme une pratique qui transforme un espace neutre, objectif, en un espace «vécu», subjectif, en une forme de «chez soi». Avec le street art, le graffeur ou le tagueur affirmerait quelque chose comme : «ceci n’est pas un espace, une ville, un quartier mais mon espace, ma ville, mon quartier». Partant de cette approche du street art, les animateurs attribuent à l’atelier de street art et, par conséquent, au secteur socio-culturel la mission d’interroger le rapport de l’habitant à son quartier ou à sa ville, d’interroger voire de pratiquer des formes nouvelles d’appropriation Les pratiques d’appropriation de l’espace habité font l’objet de recherches d’un champ scientifique relativement peu connu, le champ de la «recherche urbaine» ou encore des études urbaines (urban studies). C’est ce secteur que nous proposons d’investiguer ici avec l’ambition d’envisager ultérieurement la question des rapports entre le street art envisagé comme pratique d’appropriation de l’espace et le secteur socio-culturel. Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=7163 Réflexions sur l'appropriation de l'espace [livre] [texte imprimé] / Géraldine Brausch . - [S.l.] : Groupe & Société - Publication pédagogique d'éducation permanente (C.D.G.A.I.: Centre de Dynamique des Groupes et d'Analyse Institutionnelle asbl), 2014 . - 64 p. : ill. en coul.
Catégories : A:Analyse du graffiti Résumé : Qu’il en fasse la promotion (soutien, diffusion, etc.) ou qu’il l’utilise dans ses dispositifs traditionnels, le secteur socioculturel a adopté le street art. Mais cette adoption ne cesse de questionner. Qu’est-ce que le street art ? Que vient-il faire dans le secteur socio-culturel ? Qu’est-ce que ce secteur peut en faire ? Ce livret propose de questionner le street art comme pratique d’appropriation de l’espace. Il s’agirait de le concevoir comme une manière singulière «d’affirmer son appartenance à un endroit, à une ville», comme une manière aussi d’affirmer un attachement à son environnement. Attachement, appartenance, appropriation, marquage : le street art pourrait être envisagé comme une pratique qui transforme un espace neutre, objectif, en un espace «vécu», subjectif, en une forme de «chez soi». Avec le street art, le graffeur ou le tagueur affirmerait quelque chose comme : «ceci n’est pas un espace, une ville, un quartier mais mon espace, ma ville, mon quartier». Partant de cette approche du street art, les animateurs attribuent à l’atelier de street art et, par conséquent, au secteur socio-culturel la mission d’interroger le rapport de l’habitant à son quartier ou à sa ville, d’interroger voire de pratiquer des formes nouvelles d’appropriation Les pratiques d’appropriation de l’espace habité font l’objet de recherches d’un champ scientifique relativement peu connu, le champ de la «recherche urbaine» ou encore des études urbaines (urban studies). C’est ce secteur que nous proposons d’investiguer ici avec l’ambition d’envisager ultérieurement la question des rapports entre le street art envisagé comme pratique d’appropriation de l’espace et le secteur socio-culturel. Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=7163 Exemplaires
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