Sur les murs de Bruxelles, le sexe cède à la violence [article] / Jean-Pierre Stroobants / Le Monde.fr

Public ISBD contenu dans Graffiti 5: Graffiti et Street Art en Belgique [farde] Titre : Sur les murs de Bruxelles, le sexe cède à la violence [article] Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Stroobants Editeur : Le Monde.fr Catégories : G:Graffiti (Belgique) G:Vincent Glowinski S:Street art (Belgique) Résumé : Depuis quelques mois, la capitale belge voit fleurir des fresques anonymes, aux sujets déroutants. Rue des Brigittines, près de la gare du Midi, elle ensanglante, sur une hauteur de dix étages, le mur blanc d’une barre de HLM. Le corps d’un homme sans visage, pendu par les pieds, est éventré. Par son thème et sa taille, l’œuvre « fait peur et fascine à la fois », dit Mouna, 18 ans, qui vit dans ce quartier populaire depuis sa naissance. A la porte de Flandre, à la limite de Bruxelles-ville et Molenbeek, un autre tableau géant effraye plus encore, pour d’autres raisons puisque l’on n’y distingue aucune trace d’hémoglobine. D’un poing serré émerge une longue lame qui, à l’évidence, va servir à trancher la gorge de cet homme qui hurle, le visage fermement maintenu au sol par l’autre main du meurtrier. A moins que l’intervention d’un tiers, dont on aperçoit le bras, n’évite le pire ? Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=8042 contenu dans Graffiti 5: Graffiti et Street Art en Belgique [farde] Sur les murs de Bruxelles, le sexe cède à la violence [article] [texte imprimé] / Jean-Pierre Stroobants . - [S.l.] : Le Monde.fr, [s.d.]. Catégories : G:Graffiti (Belgique) G:Vincent Glowinski S:Street art (Belgique) Résumé : Depuis quelques mois, la capitale belge voit fleurir des fresques anonymes, aux sujets déroutants. Rue des Brigittines, près de la gare du Midi, elle ensanglante, sur une hauteur de dix étages, le mur blanc d’une barre de HLM. Le corps d’un homme sans visage, pendu par les pieds, est éventré. Par son thème et sa taille, l’œuvre « fait peur et fascine à la fois », dit Mouna, 18 ans, qui vit dans ce quartier populaire depuis sa naissance. A la porte de Flandre, à la limite de Bruxelles-ville et Molenbeek, un autre tableau géant effraye plus encore, pour d’autres raisons puisque l’on n’y distingue aucune trace d’hémoglobine. D’un poing serré émerge une longue lame qui, à l’évidence, va servir à trancher la gorge de cet homme qui hurle, le visage fermement maintenu au sol par l’autre main du meurtrier. A moins que l’intervention d’un tiers, dont on aperçoit le bras, n’évite le pire ? Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=8042

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