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Des Lego illégaux [article] / Courrier International (11/1/2013)
Titre : Des Lego illégaux [article] Type de document : texte imprimé Editeur : Courrier International Année de publication : 11/1/2013 Catégories : M
M:Malaisie
P:Politique de la ville
S:Street art
Z:Ernest Zacharevic (street artiste)Résumé : La vile malaisienne de Johor Barhu, célèbre pour son parc d'attractions Legoland, est aussi connue pour être "un haut lieu de la criminalité" (...) L'artiste lituanien Ernest Zacharevic avait combiné ces deux aspects dans un graff sur un mur de la ville. Cela n'a absolument pas plu aux services municipaux, qui l'ont effacé aussitôt Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=6142 Des Lego illégaux [article] [texte imprimé] . - [S.l.] : Courrier International, 11/1/2013.
Catégories : M
M:Malaisie
P:Politique de la ville
S:Street art
Z:Ernest Zacharevic (street artiste)Résumé : La vile malaisienne de Johor Barhu, célèbre pour son parc d'attractions Legoland, est aussi connue pour être "un haut lieu de la criminalité" (...) L'artiste lituanien Ernest Zacharevic avait combiné ces deux aspects dans un graff sur un mur de la ville. Cela n'a absolument pas plu aux services municipaux, qui l'ont effacé aussitôt Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=6142 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Fardes Exclu du prêt La loi anti-incivilités sur les rails / Hugues Dorzée / Le Soir (2012)
Titre : La loi anti-incivilités sur les rails Type de document : texte imprimé Auteurs : Hugues Dorzée Editeur : Le Soir Année de publication : 2012 Langues : Français Langues originales : Français Catégories : G:Graffiti
G:Graffiti (Belgique)
H:Hors-la-loi
P:Politique
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
P:Presse
T:Tag (Belgique)Résumé : Le graffiti, classé dans les incivilités selon les instances politiques, se voit à l'honneur d'un débat concernant l'encadrement et la sanction de cette pratique. Focus sur l'ébauche d'une loi et l'adoption de celle-ci. Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9382 La loi anti-incivilités sur les rails [texte imprimé] / Hugues Dorzée . - [S.l.] : Le Soir, 2012.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : G:Graffiti
G:Graffiti (Belgique)
H:Hors-la-loi
P:Politique
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
P:Presse
T:Tag (Belgique)Résumé : Le graffiti, classé dans les incivilités selon les instances politiques, se voit à l'honneur d'un débat concernant l'encadrement et la sanction de cette pratique. Focus sur l'ébauche d'une loi et l'adoption de celle-ci. Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9382 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Fardes Exclu du prêt Politique du hip-hop [livre] / Loïc Lafargue de Grangeneuve / Toulouse : Presses Universitaires du Mirail (2008)
Titre : Politique du hip-hop [livre] : action publique et cultures urbaines Type de document : texte imprimĂ© Auteurs : LoĂŻc Lafargue de Grangeneuve, Auteur Editeur : Toulouse : Presses Universitaires du Mirail AnnĂ©e de publication : 2008 Collection : Socio-Logiques, ISSN 1159-9170 Importance : 237 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8107-0007-3 Prix : 25 EUR Note gĂ©nĂ©rale : Empruntable à la bibliothèque de Saint-Gilles CatĂ©gories : H:Hip-hop
P:Politique culturelle
P:Politique de la villeRésumé : Née aux Etats-Unis, la culture hip-hop (rap, danse hip-hop, graffiti...) s'est fortment développée en France, qui est devenue sa seconde patrie.
Dans le cadre de la politique de la ville, les autorités politiques ont soutenu de multiples projets liés à cette mouvance artistique, afin de faire émerger des modèles de réussite pour les jeunes habitants des quartiers dits "sensibles".
A partir d'une enquête réalisée à Bordeaux et à Marseille, l'auteur met au jour la généalogie de cette action publique et examine sa mise en oeuvre.Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=4126 Politique du hip-hop [livre] : action publique et cultures urbaines [texte imprimé] / Loïc Lafargue de Grangeneuve, Auteur . - Toulouse (31058) : Presses Universitaires du Mirail, 2008 . - 237 p.. - (Socio-Logiques, ISSN 1159-9170) .
ISBN : 978-2-8107-0007-3 : 25 EUR
Empruntable à la bibliothèque de Saint-Gilles
Catégories : H:Hip-hop
P:Politique culturelle
P:Politique de la villeRésumé : Née aux Etats-Unis, la culture hip-hop (rap, danse hip-hop, graffiti...) s'est fortment développée en France, qui est devenue sa seconde patrie.
Dans le cadre de la politique de la ville, les autorités politiques ont soutenu de multiples projets liés à cette mouvance artistique, afin de faire émerger des modèles de réussite pour les jeunes habitants des quartiers dits "sensibles".
A partir d'une enquête réalisée à Bordeaux et à Marseille, l'auteur met au jour la généalogie de cette action publique et examine sa mise en oeuvre.Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=4126 Réservation
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Support Localisation Section DisponibilitĂ© Catalogue Biblio Saint-Gilles Livre Bibliothèque communale de Saint-Gilles Livres Disponible Livre Centre de doc. Livres Exclu du prĂŞt La problĂ©matique du "graffitisme" [mĂ©moire] / Estelle Delbart / Louvain-La-Neuve [Belgique] : UniversitĂ© catholique de Louvain-La-Neuve (2020)
Titre : La problématique du "graffitisme" [mémoire] : Dispositifs locaux et résistances. Le cas de la ville de Namur Type de document : texte imprimé Auteurs : Estelle Delbart Editeur : Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve Année de publication : 2020 Importance : 101 p. Langues : Français Langues originales : Français Catégories : A:Analyse du graffiti
C:Corps
G:Genre
G:Graffiti
G:Graffiti (Belgique)
H:Histoire du graffiti
N:Namur
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
S:socio-politique
S:Sociologie du graffiti
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du street artRésumé : Quiconque s’est déjà baladé en ville, à pied, à vélo ou en voiture, a déjà aperçu des « tags » et des « graffitis » revêtir l’espace urbain de manière omniprésente. En effet, ces écritures, gravures et peintures font partie intégrante de la culture citadine d’aujourd’hui. Si quelques adolescents utilisent leur corps pour laisser des traces en se faisant des tatouages, des piercings, voire des scarifications, certains laissent d’autres genres de traces sur le mobilier urbain. A cet effet, il a été reconnu une certaine correspondance dans la finalité des marquages corporels que font davantage les filles et celle des marquages sur les murs que font davantage les garçons. Cela pourrait être expliqué par le fait que dans notre société occidentale, chez les filles, c’est le corps qui est mis en avant, alors que chez les garçons, on met en avant le fait d’agir.
Ces inscriptions et dessins urbains souvent réalisés sur des propriétés publiques ou privées ne font pas toujours l’unanimité : tantôt perçus comme de l’art urbain, une manière de s’exprimer aux yeux de tous, et tantôt perçus comme une forme de pollution, du vandalisme, une agression visuelle, ou encore une atteinte aux droits de tiers. Selon certains, cela peut également traduire un ordre social déclinant, voire un ordre moral en danger. Enfin, d’autres peuvent aussi retrouver de la violence urbaine dans cette pratique souvent énigmatique pour le profane.
Ce phénomène réalisé sur tout endroit ouvert à la vue du public est parfois considéré comme persistant, voire irrémédiable. C’est pourquoi, au travers de ce mémoire de fin d’études qui bouclera ces années de master en criminologie, nous allons tenter de comprendre comment les autorités qui partagent la responsabilité de ce phénomène qui peut être vu comme un problème, se représentent la pratique du graffitisme et les dispositifs qu’elles mettent en place pour contrer ces pratiques. In fine, cette recherche tentera de comprendre quelles sont les résistances que les graffeurs installent, ou non, face à cela. Vivant près de la ville, ce phénomène que je peux apercevoir depuis mon enfance m’a toujours intriguée. J’ai donc choisi le thème des « tags en milieu urbain » pour, d’une part, satisfaire ma curiosité personnelle, comprendre qui sont les graffeurs et surtout quelles sont les raisons de leur passage à l’acte. D’autre part, au fil des années, il était devenu flagrant que le phénomène du « graffitisme » était en train de muter pour s’associer à de l’art. Les fresques artistiques réalisées grâce aux mêmes techniques que le graffiti vandale se multipliaient et se multiplient encore aujourd’hui, que ce soit dans ma ville natale, dans la capitale, ou dans de nombreuses villes que j’ai pu visiter lors de voyages touristiques. Ces voyages m’ont également permis de remarquer que ce phénomène évoluait différemment d’un pays à l’autre, et même d’une ville à l’autre. J’ai donc choisi ce thème par intérêt pour celui-ci, parce que ce phénomène continue de se développer et constitue un réel sujet d’actualité.En ligne : http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:26819 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9307 La problématique du "graffitisme" [mémoire] : Dispositifs locaux et résistances. Le cas de la ville de Namur [texte imprimé] / Estelle Delbart . - Louvain-La-Neuve (Collège J. Leclercq - n°4, Place Montesquieu, L2.05.01, 1348, Belgique) : Université catholique de Louvain-La-Neuve, 2020 . - 101 p.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : A:Analyse du graffiti
C:Corps
G:Genre
G:Graffiti
G:Graffiti (Belgique)
H:Histoire du graffiti
N:Namur
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
S:socio-politique
S:Sociologie du graffiti
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du street artRésumé : Quiconque s’est déjà baladé en ville, à pied, à vélo ou en voiture, a déjà aperçu des « tags » et des « graffitis » revêtir l’espace urbain de manière omniprésente. En effet, ces écritures, gravures et peintures font partie intégrante de la culture citadine d’aujourd’hui. Si quelques adolescents utilisent leur corps pour laisser des traces en se faisant des tatouages, des piercings, voire des scarifications, certains laissent d’autres genres de traces sur le mobilier urbain. A cet effet, il a été reconnu une certaine correspondance dans la finalité des marquages corporels que font davantage les filles et celle des marquages sur les murs que font davantage les garçons. Cela pourrait être expliqué par le fait que dans notre société occidentale, chez les filles, c’est le corps qui est mis en avant, alors que chez les garçons, on met en avant le fait d’agir.
Ces inscriptions et dessins urbains souvent réalisés sur des propriétés publiques ou privées ne font pas toujours l’unanimité : tantôt perçus comme de l’art urbain, une manière de s’exprimer aux yeux de tous, et tantôt perçus comme une forme de pollution, du vandalisme, une agression visuelle, ou encore une atteinte aux droits de tiers. Selon certains, cela peut également traduire un ordre social déclinant, voire un ordre moral en danger. Enfin, d’autres peuvent aussi retrouver de la violence urbaine dans cette pratique souvent énigmatique pour le profane.
Ce phénomène réalisé sur tout endroit ouvert à la vue du public est parfois considéré comme persistant, voire irrémédiable. C’est pourquoi, au travers de ce mémoire de fin d’études qui bouclera ces années de master en criminologie, nous allons tenter de comprendre comment les autorités qui partagent la responsabilité de ce phénomène qui peut être vu comme un problème, se représentent la pratique du graffitisme et les dispositifs qu’elles mettent en place pour contrer ces pratiques. In fine, cette recherche tentera de comprendre quelles sont les résistances que les graffeurs installent, ou non, face à cela. Vivant près de la ville, ce phénomène que je peux apercevoir depuis mon enfance m’a toujours intriguée. J’ai donc choisi le thème des « tags en milieu urbain » pour, d’une part, satisfaire ma curiosité personnelle, comprendre qui sont les graffeurs et surtout quelles sont les raisons de leur passage à l’acte. D’autre part, au fil des années, il était devenu flagrant que le phénomène du « graffitisme » était en train de muter pour s’associer à de l’art. Les fresques artistiques réalisées grâce aux mêmes techniques que le graffiti vandale se multipliaient et se multiplient encore aujourd’hui, que ce soit dans ma ville natale, dans la capitale, ou dans de nombreuses villes que j’ai pu visiter lors de voyages touristiques. Ces voyages m’ont également permis de remarquer que ce phénomène évoluait différemment d’un pays à l’autre, et même d’une ville à l’autre. J’ai donc choisi ce thème par intérêt pour celui-ci, parce que ce phénomène continue de se développer et constitue un réel sujet d’actualité.En ligne : http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:26819 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9307 Exemplaires
Support Localisation Section DisponibilitĂ© Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Mémoires et dossiers Exclu du prĂŞt
Titre : Quelle musique pour les quartiers : Deux équipements culturels controversés Type de document : texte imprimé Auteurs : Loïc Lafargue de Grangeneuve Année de publication : 2002 Langues : Français Langues originales : Français Catégories : B:Banlieues
B:Bordeaux
C:Controverse
E:Esthétique
F:France
M:Marseille
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
R:RĂ©pertoires d'action
S:socio-politique
S:Sociologie de la culture
S:Sociologie de la musique
S:Stigmatisation
T:TerritoireRésumé : Les équipements culturels constituent un élément central de l’image des villes. Lorsque leur lieu d’implantation est la banlieue, l’action publique doit faire face à une situation de double contrainte quant à leur éventuelle spécialisation : faut-il se conformer au paradigme dominant de la ville-centre dans le but de faire du territoire concerné « un territoire comme les autres », au risque de nier la spécificité de ses habitants et d’accentuer leur sentiment d’injustice, ou, au contraire, favoriser une esthétique différente, plus proche du territoire et de ses habitants, mais également susceptible de renforcer la stigmatisation ?
L’objet de cet article est d’étudier les controverses qui portent sur deux équipements culturels analogues, le projet de Centre des cultures du monde sur la rive droite de l’agglomération bordelaise, stigmatisée localement, et le Café-musique l’Affranchi, lieu dédié au hip-hop, qui se situe dans un quartier périphérique de Marseille. Deux choix opposés ont été effectués, et la comparaison permet de mettre en évidence le rôle des variables idéologiques et politiques dans la prise de décision : au nom d’un principe de démocratisation culturelle inséparable d’une idéologie « républicaine », le projet initial destiné à la rive droite de Bordeaux a été remplacé par celui d’un équipement culturel traditionnel, de manière à attirer les classes moyennes, dans une logique de rattrapage par rapport au reste de l’agglomération en général et à la ville-centre en particulier, symbole de la « grande » culture ; inversement, la municipalité de Marseille fait une sorte de pari : elle fait de son soutien au hip-hop un élément d’une politique d’image appuyée et généralisée qui vise à retourner le stigmate en emblème.En ligne : https://journals.openedition.org/volume/2413?lang=en&gathStatIcon=true Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9320 Quelle musique pour les quartiers : Deux équipements culturels controversés [texte imprimé] / Loïc Lafargue de Grangeneuve . - 2002.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : B:Banlieues
B:Bordeaux
C:Controverse
E:Esthétique
F:France
M:Marseille
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
R:RĂ©pertoires d'action
S:socio-politique
S:Sociologie de la culture
S:Sociologie de la musique
S:Stigmatisation
T:TerritoireRésumé : Les équipements culturels constituent un élément central de l’image des villes. Lorsque leur lieu d’implantation est la banlieue, l’action publique doit faire face à une situation de double contrainte quant à leur éventuelle spécialisation : faut-il se conformer au paradigme dominant de la ville-centre dans le but de faire du territoire concerné « un territoire comme les autres », au risque de nier la spécificité de ses habitants et d’accentuer leur sentiment d’injustice, ou, au contraire, favoriser une esthétique différente, plus proche du territoire et de ses habitants, mais également susceptible de renforcer la stigmatisation ?
L’objet de cet article est d’étudier les controverses qui portent sur deux équipements culturels analogues, le projet de Centre des cultures du monde sur la rive droite de l’agglomération bordelaise, stigmatisée localement, et le Café-musique l’Affranchi, lieu dédié au hip-hop, qui se situe dans un quartier périphérique de Marseille. Deux choix opposés ont été effectués, et la comparaison permet de mettre en évidence le rôle des variables idéologiques et politiques dans la prise de décision : au nom d’un principe de démocratisation culturelle inséparable d’une idéologie « républicaine », le projet initial destiné à la rive droite de Bordeaux a été remplacé par celui d’un équipement culturel traditionnel, de manière à attirer les classes moyennes, dans une logique de rattrapage par rapport au reste de l’agglomération en général et à la ville-centre en particulier, symbole de la « grande » culture ; inversement, la municipalité de Marseille fait une sorte de pari : elle fait de son soutien au hip-hop un élément d’une politique d’image appuyée et généralisée qui vise à retourner le stigmate en emblème.En ligne : https://journals.openedition.org/volume/2413?lang=en&gathStatIcon=true Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9320 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire PermalinkLes rappeurs redoutent les effets de leur nouvelle reconnaissance [article] / Frédéric Chambon / Le Monde (17-18 septembre 2000)
PermalinkPermalinkLe street art comme outil fédérateur des opérateurs d’une ville et de sa redynamisation [mémoire] / Célia Cosseddu / Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve (2017)
PermalinkLe Street Art institutionnalisé, "enjeux et controverses" [Mémoire] / Victoire Herchy / Presses Universitaires de Bruxelles (août 2019)
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