Ce centre de doc comporte des livres, articles de presse, films de fiction et documentaires, cds de rap belge, mémoires d’étudiants… Vous pouvez découvrir cette matière en explorant notre catalogue ci-dessous.
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Pas seulement des vandales [article] / Catherine Kurth / Le Vif/L'Express (14/04/2006)
Titre : Pas seulement des vandales [article] Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Kurth Editeur : Le Vif/L'Express Année de publication : 14/04/2006 Catégories : A:Action de reconnaissance
A:ASBL Tarantino
B:Brussel's graffiti (evenement graffiti)
D:Defo (graffeur)
G:Graffiti (Belgique)Résumé : Art ou vandalisme? Le mouvement graffiti donnera de lui une image moins négative à Bruxelles, dès le 15 avril. Une trentaine de graffeurs réaliseront la plus grande fresque jamais créée. Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=3412 Pas seulement des vandales [article] [texte imprimé] / Catherine Kurth . - [S.l.] : Le Vif/L'Express, 14/04/2006.
Catégories : A:Action de reconnaissance
A:ASBL Tarantino
B:Brussel's graffiti (evenement graffiti)
D:Defo (graffeur)
G:Graffiti (Belgique)Résumé : Art ou vandalisme? Le mouvement graffiti donnera de lui une image moins négative à Bruxelles, dès le 15 avril. Une trentaine de graffeurs réaliseront la plus grande fresque jamais créée. Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=3412 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Fardes Exclu du prêt
Titre : La Polynésie existe dans le graff! [article] Type de document : texte imprimé Auteurs : Réjane Ereau Editeur : Respect Mag Année de publication : 09/02/2010 Catégories : A:Action de reconnaissance
C:Cher1 (graffeur)
G:Graffiti (Tahiti)
K:Kreativ Concept (association)Résumé : Facile de faire sa place quand on graffe dans un coin (français) du Pacifique. A Tahiti, le Kreativ Concept oeuvre depuis 2006 à l'émergence d'un mouvement. En ligne : www.respectmag.com Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=3387 La Polynésie existe dans le graff! [article] [texte imprimé] / Réjane Ereau . - [S.l.] : Respect Mag, 09/02/2010.
Catégories : A:Action de reconnaissance
C:Cher1 (graffeur)
G:Graffiti (Tahiti)
K:Kreativ Concept (association)Résumé : Facile de faire sa place quand on graffe dans un coin (français) du Pacifique. A Tahiti, le Kreativ Concept oeuvre depuis 2006 à l'émergence d'un mouvement. En ligne : www.respectmag.com Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=3387 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Fardes Exclu du prêt
Titre : (R)évolution du street art Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Van Essche, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : CFC Editions Année de publication : 2021 Collection : Regards sur la ville, ISSN 978-2-87572- Importance : 288 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-97572-071-9 Langues : Français Langues originales : Français Catégories : A:Action de reconnaissance
B:Belgique
C:capitalisme
C:Constestation
D:De la subversion à la subvention : l’art urbain entre pratique illégale et commande publique à l’âge du capitalisme culturel (Colloque)
I:Industrie culturelle
P:Pluri-disciplinaire
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
S:socio-politique
S:Street art
S:Subversion
U:Université libre de BruxellesRésumé : De la rue à la galerie… Le street art est-il toujours un art dissident ?
Cette question s’avère légitime car, il se voit toujours plus institutionnalisé et parfois même protégé sur certains murs de la ville. Considéré autrefois comme une pratique déviante, il est devenu un symbole de gentrification et trouve aujourd’hui sa place dans les musées du monde entier. Dans le même temps, il maintient un lien fort avec l’espace public. Il nourrit et favorise encore et toujours le dialogue entre l’art et la ville auprès d’un large public.
Alors s’agit-il désormais surtout d’un art devenu élitiste ou, issu de la rue, le street art échapperait-il pour partie encore au marché de l’art et aux commandes officielles ? Qu’en est-il plus spécifiquement à Bruxelles ?
Comme toutes les grandes villes européennes, Bruxelles a été touchée par le phénomène du tag et du graffiti. Si ce phénomène reste lié à des connotations négatives, une nouvelle génération d’artistes urbains font désormais bouger les lignes : en diversifiant la palette de leurs interventions, en travaillant dans un esprit de collaboration plutôt que d’opposition avec les autorités publiques et les institutions officielles – jusqu’à intervenir dans le cadre de commandes contractuelles, souvent par le biais d’associations de droit ayant pignon sur rue.
Cet ouvrage, qui fait suite au colloque international organisé à l’ULB/Université libre de Bruxelles (De la subversion à la subvention : l’art urbain entre pratique illégale et commande publique à l’âge du capitalisme culturel), souhaite dépasser les clivages entre les « vandales » du graffiti et les « vendus » du street art pour observer des situations inédites tant du point de vue de l’esthétique, de la sociologie, de la politique, du management culturel ou de l’économie. Plus largement, le contexte est celui de la ville créative et des imaginaires urbains à l’ère du capitalisme culturel, particulièrement à l’endroit d’une tension entre une approche libertaire et une approche entrepreneuriale de la culture.
En miroir de cette approche théorique assurée par des chercheurs spécialistes des différents aspects de la question, l’ouvrage présente, avec une riche documentation inédite, une douzaine de projets, d’artistes ou d’associations représentant le dynamisme artistique du street art bruxellois contemporain, comme Farm Prod, Dynamic Art, Fais le trottoir, Urbana, Propaganza, Costik ou Lezarts urbains.
En ligne : https://www.maisoncfc.be/fr/products/1124-revolutions-du-street-art Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9317 (R)évolution du street art [texte imprimé] / Eric Van Essche, Directeur de publication, rédacteur en chef . - [S.l.] : CFC Editions, 2021 . - 288 p.. - (Regards sur la ville, ISSN 978-2-87572-) .
ISSN : 978-2-97572-071-9
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : A:Action de reconnaissance
B:Belgique
C:capitalisme
C:Constestation
D:De la subversion à la subvention : l’art urbain entre pratique illégale et commande publique à l’âge du capitalisme culturel (Colloque)
I:Industrie culturelle
P:Pluri-disciplinaire
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
S:socio-politique
S:Street art
S:Subversion
U:Université libre de BruxellesRésumé : De la rue à la galerie… Le street art est-il toujours un art dissident ?
Cette question s’avère légitime car, il se voit toujours plus institutionnalisé et parfois même protégé sur certains murs de la ville. Considéré autrefois comme une pratique déviante, il est devenu un symbole de gentrification et trouve aujourd’hui sa place dans les musées du monde entier. Dans le même temps, il maintient un lien fort avec l’espace public. Il nourrit et favorise encore et toujours le dialogue entre l’art et la ville auprès d’un large public.
Alors s’agit-il désormais surtout d’un art devenu élitiste ou, issu de la rue, le street art échapperait-il pour partie encore au marché de l’art et aux commandes officielles ? Qu’en est-il plus spécifiquement à Bruxelles ?
Comme toutes les grandes villes européennes, Bruxelles a été touchée par le phénomène du tag et du graffiti. Si ce phénomène reste lié à des connotations négatives, une nouvelle génération d’artistes urbains font désormais bouger les lignes : en diversifiant la palette de leurs interventions, en travaillant dans un esprit de collaboration plutôt que d’opposition avec les autorités publiques et les institutions officielles – jusqu’à intervenir dans le cadre de commandes contractuelles, souvent par le biais d’associations de droit ayant pignon sur rue.
Cet ouvrage, qui fait suite au colloque international organisé à l’ULB/Université libre de Bruxelles (De la subversion à la subvention : l’art urbain entre pratique illégale et commande publique à l’âge du capitalisme culturel), souhaite dépasser les clivages entre les « vandales » du graffiti et les « vendus » du street art pour observer des situations inédites tant du point de vue de l’esthétique, de la sociologie, de la politique, du management culturel ou de l’économie. Plus largement, le contexte est celui de la ville créative et des imaginaires urbains à l’ère du capitalisme culturel, particulièrement à l’endroit d’une tension entre une approche libertaire et une approche entrepreneuriale de la culture.
En miroir de cette approche théorique assurée par des chercheurs spécialistes des différents aspects de la question, l’ouvrage présente, avec une riche documentation inédite, une douzaine de projets, d’artistes ou d’associations représentant le dynamisme artistique du street art bruxellois contemporain, comme Farm Prod, Dynamic Art, Fais le trottoir, Urbana, Propaganza, Costik ou Lezarts urbains.
En ligne : https://www.maisoncfc.be/fr/products/1124-revolutions-du-street-art Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9317 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Livres Exclu du prêt Revendications politiques portées par Estampe 51 pour le Mouvement Graffiti [article] / Simon Dupuis / Estampe 51 ASBL ([2006])
Titre : Revendications politiques portées par Estampe 51 pour le Mouvement Graffiti [article] Type de document : texte imprimé Auteurs : Simon Dupuis ; Monzon Givron ; Valentin Laborey Editeur : Estampe 51 ASBL Année de publication : [2006] Catégories : A:Action de reconnaissance
C:Contestation politique
E:Estampe 51 (association)Résumé : "En Belgique, sous l'impulsion de Monzon, les tassistes créent en 1996 l'ASBL Estampe 51, la première structure officielle de graffiti du pays. Ses objectifs sont évidemment de défendre et de développer la culture graffiti, mais aussi d'offrir la possibilité à des graffiteurs d'exercer leur activité dans une voie légale, de les aider dans leurs problèmes judiciaires bien sûr, mais aussi familiaux et sociaux, par des écoutes, soutiens et orientations autres qu'artistiques. L'ASBL écrit au parquet afin de défendre des tagueurs et de proposer des alternatives aux condamnations. Elle écrit aux journaux pour dénoncer les désinformations qu'ils véhiculent. Elle effectue des démarches qui ont permis de reconnaître les piliers du ring d'Anderlecht comme un endroit d'expression libre. Elle met aussi sur pied la première exposition de graffiti en milieu universitaire. Il ne s'agit jamais pour l'ASBL de pousser des graffeurs à agir en dehors d'un cadre légal qui a un pouvoir de répression sur eux, mais il ne s'agit pas non plus de leur cacher que, de tout temps, le militantisme et la désobéissance civile ont permis de faire évoluer les sociétés contre des personnes réactionnaires qui protégeaient d'abord des intérêts de classe." Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=8229 Revendications politiques portées par Estampe 51 pour le Mouvement Graffiti [article] [texte imprimé] / Simon Dupuis ; Monzon Givron ; Valentin Laborey . - [S.l.] : Estampe 51 ASBL, [2006].
Catégories : A:Action de reconnaissance
C:Contestation politique
E:Estampe 51 (association)Résumé : "En Belgique, sous l'impulsion de Monzon, les tassistes créent en 1996 l'ASBL Estampe 51, la première structure officielle de graffiti du pays. Ses objectifs sont évidemment de défendre et de développer la culture graffiti, mais aussi d'offrir la possibilité à des graffiteurs d'exercer leur activité dans une voie légale, de les aider dans leurs problèmes judiciaires bien sûr, mais aussi familiaux et sociaux, par des écoutes, soutiens et orientations autres qu'artistiques. L'ASBL écrit au parquet afin de défendre des tagueurs et de proposer des alternatives aux condamnations. Elle écrit aux journaux pour dénoncer les désinformations qu'ils véhiculent. Elle effectue des démarches qui ont permis de reconnaître les piliers du ring d'Anderlecht comme un endroit d'expression libre. Elle met aussi sur pied la première exposition de graffiti en milieu universitaire. Il ne s'agit jamais pour l'ASBL de pousser des graffeurs à agir en dehors d'un cadre légal qui a un pouvoir de répression sur eux, mais il ne s'agit pas non plus de leur cacher que, de tout temps, le militantisme et la désobéissance civile ont permis de faire évoluer les sociétés contre des personnes réactionnaires qui protégeaient d'abord des intérêts de classe." Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=8229 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Fardes Exclu du prêt De la rue au Musée: peintres d'abord [article] / Jonathan Roze in Artension [magazine], n°10 - hors série ([01/11/2012])
[article]
Titre : De la rue au Musée: peintres d'abord [article] Type de document : texte imprimé Auteurs : Jonathan Roze Année de publication : 2012 Article en page(s) : p.56-61 Catégories : A:Action de reconnaissance
G:Galerie d'art
G:Graffiti
M:Marché de l'art
M:Musées
S:Street artRésumé : Depuis les années 200, l'évolution du regard porté sur les oeuvres d'artistes issus de la rue est indéniable. Du phénomène social au mouvement artistique mondial, l'art contemporain urbain a pris le relais du street art: il investit désormais les galeries, musées, foires et salles des ventes et s'institutionnalise avec une intensité croissante. Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=5550
in Artension [magazine] > n°10 - hors série [01/11/2012] . - p.56-61[article] De la rue au Musée: peintres d'abord [article] [texte imprimé] / Jonathan Roze . - 2012 . - p.56-61.
in Artension [magazine] > n°10 - hors série [01/11/2012] . - p.56-61
Catégories : A:Action de reconnaissance
G:Galerie d'art
G:Graffiti
M:Marché de l'art
M:Musées
S:Street artRésumé : Depuis les années 200, l'évolution du regard porté sur les oeuvres d'artistes issus de la rue est indéniable. Du phénomène social au mouvement artistique mondial, l'art contemporain urbain a pris le relais du street art: il investit désormais les galeries, musées, foires et salles des ventes et s'institutionnalise avec une intensité croissante. Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=5550 PermalinkTags, du bitume aux galeries [article] / Catherine Callico / Victoire (22/09/2007)
PermalinkLes tagueurs invités à sortir du bois [article] / Estelle Aubert
PermalinkV comme... Peau neuve [article] / Sandra Evrard / Victoire (17/01/2009)
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