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Auteur Henry Dougier |
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Jeunesse perdue / Henry Dougier / autrement (1995)
Titre : Jeunesse perdue : Révolte vide et vieux démons Type de document : texte imprimé Auteurs : Henry Dougier, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : autrement Année de publication : 1995 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86260-554-8 Langues : Français Langues originales : Français Catégories : B:Biographie
C:Contestation politique
E:Europe
J:Jeunesse
P:Politique
S:Socio-histoire
S:socio-politique
S:Sociologie de la ville
V:VilleRésumé : Un jour, à quinze ou dix-sept ans, ils décident de transformer leur tête en bunker : ils se rasent le crâne, se tatouent des croix gammées et des aigles sur la peau et se jettent à corps perdu dans la violence.Imbibé d'alcool, ils ne frappent pourtant pas au hasard. Leurs victimes privilégiées sont des demandeurs d'asile, des Tsiganes, des Vietnamiens, des Arabes, des Africains, mais aussi des handicapés, des homosexuels ou des chevelus. Leurs cibles sont encore et toujours les cimetières juifs.
Qui sont-ils, ces naziskins ? Ingo Hasselbach en était un. Il a trouvé la voie de sortie. Dans un récit auto-biographique - qui n'a pas d'équivalent - il retrace le parcours qui le conduit d'une enfance "réellement socialiste" dans le Berlin-Est des années 70 à un squat dans le Berlin réunifié des années 90. Sans complaisance, ce repenti volontaire nous force à réfléchir sur l'avenir d'une jeunesse européenne désorientée et livrée aux vieux démons.
Phénomène typiquement allemand que ces naziskins ? La chronique quotidienne des faits et méfaits divers à travers tout le continent montre bien que non. Phénomène marginal ? Mais les naziskins ne font-ils pas que traduire en acteurs les paroles de haine de ceux qui recueillent, à travers toute l'Europe, entre 10 et 30% des voix aux élections ?
Le récit authentique d'info Hasselbach, écrit en collaboration avec Winfied Bonengel, est une véritable "lettre ouverte aux pères absents". Il est présenté, traduit et commenté par Fausto Giudice.Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9423 Jeunesse perdue : Révolte vide et vieux démons [texte imprimé] / Henry Dougier, Directeur de publication, rédacteur en chef . - [S.l.] : autrement, 1995.
ISBN : 978-2-86260-554-8
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : B:Biographie
C:Contestation politique
E:Europe
J:Jeunesse
P:Politique
S:Socio-histoire
S:socio-politique
S:Sociologie de la ville
V:VilleRésumé : Un jour, à quinze ou dix-sept ans, ils décident de transformer leur tête en bunker : ils se rasent le crâne, se tatouent des croix gammées et des aigles sur la peau et se jettent à corps perdu dans la violence.Imbibé d'alcool, ils ne frappent pourtant pas au hasard. Leurs victimes privilégiées sont des demandeurs d'asile, des Tsiganes, des Vietnamiens, des Arabes, des Africains, mais aussi des handicapés, des homosexuels ou des chevelus. Leurs cibles sont encore et toujours les cimetières juifs.
Qui sont-ils, ces naziskins ? Ingo Hasselbach en était un. Il a trouvé la voie de sortie. Dans un récit auto-biographique - qui n'a pas d'équivalent - il retrace le parcours qui le conduit d'une enfance "réellement socialiste" dans le Berlin-Est des années 70 à un squat dans le Berlin réunifié des années 90. Sans complaisance, ce repenti volontaire nous force à réfléchir sur l'avenir d'une jeunesse européenne désorientée et livrée aux vieux démons.
Phénomène typiquement allemand que ces naziskins ? La chronique quotidienne des faits et méfaits divers à travers tout le continent montre bien que non. Phénomène marginal ? Mais les naziskins ne font-ils pas que traduire en acteurs les paroles de haine de ceux qui recueillent, à travers toute l'Europe, entre 10 et 30% des voix aux élections ?
Le récit authentique d'info Hasselbach, écrit en collaboration avec Winfied Bonengel, est une véritable "lettre ouverte aux pères absents". Il est présenté, traduit et commenté par Fausto Giudice.Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9423 Exemplaires
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