Ce centre de doc comporte des livres, articles de presse, films de fiction et documentaires, cds de rap belge, mémoires d’étudiants… Vous pouvez découvrir cette matière en explorant notre catalogue ci-dessous.
Attention, celui-ci n’est pas exhaustif, le processus d’encodage des documents étant continu. Donc n’hésitez pas à venir fouiller directement dans nos rayons, vous y ferez encore d’autres découvertes !
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Du gangsta rap au hip-hop conscient : Subversions et alternatives critiques en réponse aux mythes américains [article] / Guillaume P. Lessard / Université de Montréal (03/2014)
Titre : Du gangsta rap au hip-hop conscient : Subversions et alternatives critiques en réponse aux mythes américains [article] Type de document : texte imprimé Auteurs : Guillaume P. Lessard Editeur : Université de Montréal Année de publication : 03/2014 Catégories : C:capitalisme
C:Censure
G:Gangsta rap
H:Hip Hop Wars
R:Rap (Etats-Unis)
R:Rap conscient
S:Sexisme
S:Sociologie du rap
V:ViolenceRésumé : "L'émergence du gangsta rap américain au tournant des années 1990 a stimulé des débats d'envergure nationale sur la question de la liberté d'expression. Bien que le hip-hop ait émergé victorieux de cette guerre culturelle, il semble que grâce à un procédé de marginalisation des discours jugés subversifs, le récit national américain soit demeuré largement inchangé face aux attaques du gangsta rap. Toutefois, avec l'émergence du hip-hop conscient, de nouveaux récits critiques contribuent à nuancer les mythes nationaux américains de l'intérieur et offrent des conceptions alternatives de l'identité américaine au travers de la culture hip-hop." Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=8461 Du gangsta rap au hip-hop conscient : Subversions et alternatives critiques en réponse aux mythes américains [article] [texte imprimé] / Guillaume P. Lessard . - Canada : Université de Montréal, 03/2014.
Catégories : C:capitalisme
C:Censure
G:Gangsta rap
H:Hip Hop Wars
R:Rap (Etats-Unis)
R:Rap conscient
S:Sexisme
S:Sociologie du rap
V:ViolenceRésumé : "L'émergence du gangsta rap américain au tournant des années 1990 a stimulé des débats d'envergure nationale sur la question de la liberté d'expression. Bien que le hip-hop ait émergé victorieux de cette guerre culturelle, il semble que grâce à un procédé de marginalisation des discours jugés subversifs, le récit national américain soit demeuré largement inchangé face aux attaques du gangsta rap. Toutefois, avec l'émergence du hip-hop conscient, de nouveaux récits critiques contribuent à nuancer les mythes nationaux américains de l'intérieur et offrent des conceptions alternatives de l'identité américaine au travers de la culture hip-hop." Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=8461 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Fardes Exclu du prêt A qui profite le sale / Benjamine Weil / Payot (2023)
Titre : A qui profite le sale : Sexisme, racisme et capitalisme dans le rap français Type de document : texte imprimé Auteurs : Benjamine Weil Editeur : Payot Année de publication : 2023 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-228-93295-0 Langues : Français Catégories : C:capitalisme
P:Philosophie de la culture
P:Philosophie du hip hop
R:Racisme
R:Rap
R:Rap et philosophie
S:SexismeRésumé : Aimer le rap n’est pas tout lui passer. Si le rap se réduit trop souvent à du sale bien gras, il faut s’interroger : pourquoi ces représentations virilistes au sein du rapgame, et surtout pourquoi y réduire le rap tout entier ?
Avec un plaisir non dissimulé, Benjamine Weill propose une lecture critique du sale pour en comprendre les piliers – sexistes et racistes – et dénoncer les intérêts du capitalisme à le promouvoir quasi exclusivement à travers des idoles stéréotypées.
Après ce bon coup de balai dans le sale, il est enfin possible de poser un regard juste sur le rap et de célébrer la diversité et la complexité d’un mouvement culturel résolument inclusif et citoyen, toujours nourri par les principes Hip-Hop. Le rap français mérite une bientraitance politique et culturelle : cet essai en est la preuve.
Philosophe de formation, Benjamine Weill exerce dans le travail social, notamment en Seine-Saint-Denis, depuis vingt ans. Grande amatrice de rap depuis son adolescence, elle collabore à plusieurs médias spécialisés et accompagne de nombreux artistes dans leurs projets pour faire rayonner la culture Hip- Hop.Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9548 A qui profite le sale : Sexisme, racisme et capitalisme dans le rap français [texte imprimé] / Benjamine Weil . - [S.l.] : Payot, 2023.
ISBN : 978-2-228-93295-0
Langues : Français
Catégories : C:capitalisme
P:Philosophie de la culture
P:Philosophie du hip hop
R:Racisme
R:Rap
R:Rap et philosophie
S:SexismeRésumé : Aimer le rap n’est pas tout lui passer. Si le rap se réduit trop souvent à du sale bien gras, il faut s’interroger : pourquoi ces représentations virilistes au sein du rapgame, et surtout pourquoi y réduire le rap tout entier ?
Avec un plaisir non dissimulé, Benjamine Weill propose une lecture critique du sale pour en comprendre les piliers – sexistes et racistes – et dénoncer les intérêts du capitalisme à le promouvoir quasi exclusivement à travers des idoles stéréotypées.
Après ce bon coup de balai dans le sale, il est enfin possible de poser un regard juste sur le rap et de célébrer la diversité et la complexité d’un mouvement culturel résolument inclusif et citoyen, toujours nourri par les principes Hip-Hop. Le rap français mérite une bientraitance politique et culturelle : cet essai en est la preuve.
Philosophe de formation, Benjamine Weill exerce dans le travail social, notamment en Seine-Saint-Denis, depuis vingt ans. Grande amatrice de rap depuis son adolescence, elle collabore à plusieurs médias spécialisés et accompagne de nombreux artistes dans leurs projets pour faire rayonner la culture Hip- Hop.Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9548 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Fardes Exclu du prêt
Titre : (R)évolution du street art Type de document : texte imprimé Auteurs : Eric Van Essche, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : CFC Editions Année de publication : 2021 Collection : Regards sur la ville, ISSN 978-2-87572- Importance : 288 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-97572-071-9 Langues : Français Langues originales : Français Catégories : A:Action de reconnaissance
B:Belgique
C:capitalisme
C:Constestation
D:De la subversion à la subvention : l’art urbain entre pratique illégale et commande publique à l’âge du capitalisme culturel (Colloque)
I:Industrie culturelle
P:Pluri-disciplinaire
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
S:socio-politique
S:Street art
S:Subversion
U:Université libre de BruxellesRésumé : De la rue à la galerie… Le street art est-il toujours un art dissident ?
Cette question s’avère légitime car, il se voit toujours plus institutionnalisé et parfois même protégé sur certains murs de la ville. Considéré autrefois comme une pratique déviante, il est devenu un symbole de gentrification et trouve aujourd’hui sa place dans les musées du monde entier. Dans le même temps, il maintient un lien fort avec l’espace public. Il nourrit et favorise encore et toujours le dialogue entre l’art et la ville auprès d’un large public.
Alors s’agit-il désormais surtout d’un art devenu élitiste ou, issu de la rue, le street art échapperait-il pour partie encore au marché de l’art et aux commandes officielles ? Qu’en est-il plus spécifiquement à Bruxelles ?
Comme toutes les grandes villes européennes, Bruxelles a été touchée par le phénomène du tag et du graffiti. Si ce phénomène reste lié à des connotations négatives, une nouvelle génération d’artistes urbains font désormais bouger les lignes : en diversifiant la palette de leurs interventions, en travaillant dans un esprit de collaboration plutôt que d’opposition avec les autorités publiques et les institutions officielles – jusqu’à intervenir dans le cadre de commandes contractuelles, souvent par le biais d’associations de droit ayant pignon sur rue.
Cet ouvrage, qui fait suite au colloque international organisé à l’ULB/Université libre de Bruxelles (De la subversion à la subvention : l’art urbain entre pratique illégale et commande publique à l’âge du capitalisme culturel), souhaite dépasser les clivages entre les « vandales » du graffiti et les « vendus » du street art pour observer des situations inédites tant du point de vue de l’esthétique, de la sociologie, de la politique, du management culturel ou de l’économie. Plus largement, le contexte est celui de la ville créative et des imaginaires urbains à l’ère du capitalisme culturel, particulièrement à l’endroit d’une tension entre une approche libertaire et une approche entrepreneuriale de la culture.
En miroir de cette approche théorique assurée par des chercheurs spécialistes des différents aspects de la question, l’ouvrage présente, avec une riche documentation inédite, une douzaine de projets, d’artistes ou d’associations représentant le dynamisme artistique du street art bruxellois contemporain, comme Farm Prod, Dynamic Art, Fais le trottoir, Urbana, Propaganza, Costik ou Lezarts urbains.
En ligne : https://www.maisoncfc.be/fr/products/1124-revolutions-du-street-art Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9317 (R)évolution du street art [texte imprimé] / Eric Van Essche, Directeur de publication, rédacteur en chef . - [S.l.] : CFC Editions, 2021 . - 288 p.. - (Regards sur la ville, ISSN 978-2-87572-) .
ISSN : 978-2-97572-071-9
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : A:Action de reconnaissance
B:Belgique
C:capitalisme
C:Constestation
D:De la subversion à la subvention : l’art urbain entre pratique illégale et commande publique à l’âge du capitalisme culturel (Colloque)
I:Industrie culturelle
P:Pluri-disciplinaire
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
S:socio-politique
S:Street art
S:Subversion
U:Université libre de BruxellesRésumé : De la rue à la galerie… Le street art est-il toujours un art dissident ?
Cette question s’avère légitime car, il se voit toujours plus institutionnalisé et parfois même protégé sur certains murs de la ville. Considéré autrefois comme une pratique déviante, il est devenu un symbole de gentrification et trouve aujourd’hui sa place dans les musées du monde entier. Dans le même temps, il maintient un lien fort avec l’espace public. Il nourrit et favorise encore et toujours le dialogue entre l’art et la ville auprès d’un large public.
Alors s’agit-il désormais surtout d’un art devenu élitiste ou, issu de la rue, le street art échapperait-il pour partie encore au marché de l’art et aux commandes officielles ? Qu’en est-il plus spécifiquement à Bruxelles ?
Comme toutes les grandes villes européennes, Bruxelles a été touchée par le phénomène du tag et du graffiti. Si ce phénomène reste lié à des connotations négatives, une nouvelle génération d’artistes urbains font désormais bouger les lignes : en diversifiant la palette de leurs interventions, en travaillant dans un esprit de collaboration plutôt que d’opposition avec les autorités publiques et les institutions officielles – jusqu’à intervenir dans le cadre de commandes contractuelles, souvent par le biais d’associations de droit ayant pignon sur rue.
Cet ouvrage, qui fait suite au colloque international organisé à l’ULB/Université libre de Bruxelles (De la subversion à la subvention : l’art urbain entre pratique illégale et commande publique à l’âge du capitalisme culturel), souhaite dépasser les clivages entre les « vandales » du graffiti et les « vendus » du street art pour observer des situations inédites tant du point de vue de l’esthétique, de la sociologie, de la politique, du management culturel ou de l’économie. Plus largement, le contexte est celui de la ville créative et des imaginaires urbains à l’ère du capitalisme culturel, particulièrement à l’endroit d’une tension entre une approche libertaire et une approche entrepreneuriale de la culture.
En miroir de cette approche théorique assurée par des chercheurs spécialistes des différents aspects de la question, l’ouvrage présente, avec une riche documentation inédite, une douzaine de projets, d’artistes ou d’associations représentant le dynamisme artistique du street art bruxellois contemporain, comme Farm Prod, Dynamic Art, Fais le trottoir, Urbana, Propaganza, Costik ou Lezarts urbains.
En ligne : https://www.maisoncfc.be/fr/products/1124-revolutions-du-street-art Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9317 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Livres Exclu du prêt