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Education et engagement dans le hip hop global [thèse] / Charles Norton / Nanterre : Université Paris-Nanterre (2020)
Titre : Education et engagement dans le hip hop global [thèse] Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles Norton Editeur : Nanterre : Université Paris-Nanterre Année de publication : 2020 Langues : Français Langues originales : Français Catégories : A:Analyse du hip-hop
E:Engagement
E:Enseignement
E:Esthétique
I:Industrie culturelle
I:Industrie du disque
I:Intersectionnalité
P:Philosophie
R:Rap et philosophieRésumé : Selon ses adeptes, puisqu’elle touche à plusieurs domaines de connaissance tels que les arts et l’enseignement, la culture hip-hop peut être qualifiée de holistique. Le rap, qui est un des éléments que renferme la culture hip-hop, est devenu le genre musical le plus populaire et rentable aux États-Unis en 2017. Malgré ses origines diverses, ses différentes manifestations, et son caractère parfois engagé, le rap commercial est souvent métonymique de la culture hip-hop en entier. Les artistes de rap commercial abordent, pour la plupart, des thèmes qui renforcent des stéréotypes racistes et enrichissent les grandes entreprises et les sociétés d’exploitation. À l’aide de travaux ethnographiques multi-sites menés de 2010 à 2019, cette thèse documente, analyse et dissémine certaines manifestions éducatives et engagées de la culture hip-hop dans son ensemble. Ces études ethnographiques ont permis de réfléchir : comment des artistes engagés utilisent le breakdance et la pédagogie hip-hop pour critiquer la corruption politique et renforcer l’autonomisation des jeunes handicapés à Malte ; l’histoire des graffitis politiques en Haïti, et comment les artistes s’en servent comme outil de résistance face aux interventions néolibérales propulsées par la nécessité de reconstruire le pays après le tremblement de terre de 2010 ; le Settler Colonialism américain, ainsi que la façon dont les artistes autochtones utilisent le hip hop pour combattre l’appropriation culturelle, le racisme structurel et les politiques suprématistes blanches qui régissent les limites frontalières en Arizona. Une section de réflexion critique clos finalement ce travail d’analyse dans la tradition de pédagogie engagée de Freire. J’y fait des liens entre ces ethnographies et discute des projets connexes qu'ils ont engendrés, interrogeant la positionnalité et les expériences du chercheur. J’investigue également dans cette section l’interaction entre l’industrie du rap et l’engagement militant, en proposant une nouvelle théorie esthétique de la culture hip-hop. Les données recueillies par cette étude démontrent que le hip hop est bien plus qu’une entreprise, un art ou même une culture. C’est un cadre transformateur et intersectionnel qui valorise les droits de l'homme et favorise l'autonomisation en transcendant l’espace physique entre les artistes et leurs publics. En ligne : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-03273448/ Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9310 Education et engagement dans le hip hop global [thèse] [texte imprimé] / Charles Norton . - Nanterre (200, avenur de la République, 92001) : Université Paris-Nanterre, 2020.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : A:Analyse du hip-hop
E:Engagement
E:Enseignement
E:Esthétique
I:Industrie culturelle
I:Industrie du disque
I:Intersectionnalité
P:Philosophie
R:Rap et philosophieRésumé : Selon ses adeptes, puisqu’elle touche à plusieurs domaines de connaissance tels que les arts et l’enseignement, la culture hip-hop peut être qualifiée de holistique. Le rap, qui est un des éléments que renferme la culture hip-hop, est devenu le genre musical le plus populaire et rentable aux États-Unis en 2017. Malgré ses origines diverses, ses différentes manifestations, et son caractère parfois engagé, le rap commercial est souvent métonymique de la culture hip-hop en entier. Les artistes de rap commercial abordent, pour la plupart, des thèmes qui renforcent des stéréotypes racistes et enrichissent les grandes entreprises et les sociétés d’exploitation. À l’aide de travaux ethnographiques multi-sites menés de 2010 à 2019, cette thèse documente, analyse et dissémine certaines manifestions éducatives et engagées de la culture hip-hop dans son ensemble. Ces études ethnographiques ont permis de réfléchir : comment des artistes engagés utilisent le breakdance et la pédagogie hip-hop pour critiquer la corruption politique et renforcer l’autonomisation des jeunes handicapés à Malte ; l’histoire des graffitis politiques en Haïti, et comment les artistes s’en servent comme outil de résistance face aux interventions néolibérales propulsées par la nécessité de reconstruire le pays après le tremblement de terre de 2010 ; le Settler Colonialism américain, ainsi que la façon dont les artistes autochtones utilisent le hip hop pour combattre l’appropriation culturelle, le racisme structurel et les politiques suprématistes blanches qui régissent les limites frontalières en Arizona. Une section de réflexion critique clos finalement ce travail d’analyse dans la tradition de pédagogie engagée de Freire. J’y fait des liens entre ces ethnographies et discute des projets connexes qu'ils ont engendrés, interrogeant la positionnalité et les expériences du chercheur. J’investigue également dans cette section l’interaction entre l’industrie du rap et l’engagement militant, en proposant une nouvelle théorie esthétique de la culture hip-hop. Les données recueillies par cette étude démontrent que le hip hop est bien plus qu’une entreprise, un art ou même une culture. C’est un cadre transformateur et intersectionnel qui valorise les droits de l'homme et favorise l'autonomisation en transcendant l’espace physique entre les artistes et leurs publics. En ligne : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-03273448/ Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9310 Exemplaires
Support Localisation Section DisponibilitĂ© Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Mémoires et dossiers Exclu du prĂŞt Jean-Louis Bischoff, Tribus musicales, spiritualitĂ© et fait religieux (compte-rendu) / François Gauthier / 2008
Titre : Jean-Louis Bischoff, Tribus musicales, spiritualitĂ© et fait religieux (compte-rendu) : EnquĂŞte sur les mouvances rock, punk, skinhead, gothique, hardcore, techno, hip-hop Paris, L’Harmattan, coll. « Univers musical », 2007, 291 p. Type de document : texte imprimĂ© Auteurs : François Gauthier AnnĂ©e de publication : 2008 Note gĂ©nĂ©rale : Compte rendu du Livre de Jean-Louis Bischoff : "Tribus musicales, spiritualité et fait religieux. Enquête sur les mouvances rock, punk, skinhead, gothique, hardcore, techno, hip-hop", 2007, 291 p. Langues : Français Langues originales : Français CatĂ©gories : C:CommunautĂ©
C:Compte-rendu
D:DĂ©viance
E:Esthétique
F:France
M:Marges
M:Musiques populaires
S:Socialité
S:Sociologie
T:Tribus musicalesRésumé : On sait l’importance de la musique dans l’instruction de la jeunesse, véritable axe autour duquel s’organise une socialité fortement identitaire et effervescente. J.-L. Bischoff, philosophe auteur d’un ouvrage sur Pascal, se penche ici sur plusieurs modulations de ce phénomène qu’il qualifie, à la suite de Michel Maffesoli, de « tribus » musicales. Le regroupement de type tribal, constitué en réseau et lâchement institué, serait un moyen de se différencier tout en appartenant à un groupe de pairs que rassemble une même passion pour la musique et l’esthétique. Cette socialité élective et sélective permet la transgression et la mise à distance de la société sans tomber dans la délinquance au sens de déliaison mortifère. En ligne : https://journals.openedition.org/assr/14743#xd_co_f=Y2IxYzdhMjgtYjEzMS00ZTE4LWE5 [...] Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9290 Jean-Louis Bischoff, Tribus musicales, spiritualité et fait religieux (compte-rendu) : Enquête sur les mouvances rock, punk, skinhead, gothique, hardcore, techno, hip-hop Paris, L’Harmattan, coll. « Univers musical », 2007, 291 p. [texte imprimé] / François Gauthier . - 2008.
Compte rendu du Livre de Jean-Louis Bischoff : "Tribus musicales, spiritualité et fait religieux. Enquête sur les mouvances rock, punk, skinhead, gothique, hardcore, techno, hip-hop", 2007, 291 p.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : C:Communauté
C:Compte-rendu
D:DĂ©viance
E:Esthétique
F:France
M:Marges
M:Musiques populaires
S:Socialité
S:Sociologie
T:Tribus musicalesRésumé : On sait l’importance de la musique dans l’instruction de la jeunesse, véritable axe autour duquel s’organise une socialité fortement identitaire et effervescente. J.-L. Bischoff, philosophe auteur d’un ouvrage sur Pascal, se penche ici sur plusieurs modulations de ce phénomène qu’il qualifie, à la suite de Michel Maffesoli, de « tribus » musicales. Le regroupement de type tribal, constitué en réseau et lâchement institué, serait un moyen de se différencier tout en appartenant à un groupe de pairs que rassemble une même passion pour la musique et l’esthétique. Cette socialité élective et sélective permet la transgression et la mise à distance de la société sans tomber dans la délinquance au sens de déliaison mortifère. En ligne : https://journals.openedition.org/assr/14743#xd_co_f=Y2IxYzdhMjgtYjEzMS00ZTE4LWE5 [...] Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9290 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Fardes Exclu du prêt
Titre : Quelle musique pour les quartiers : Deux équipements culturels controversés Type de document : texte imprimé Auteurs : Loïc Lafargue de Grangeneuve Année de publication : 2002 Langues : Français Langues originales : Français Catégories : B:Banlieues
B:Bordeaux
C:Controverse
E:Esthétique
F:France
M:Marseille
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
R:RĂ©pertoires d'action
S:socio-politique
S:Sociologie de la culture
S:Sociologie de la musique
S:Stigmatisation
T:TerritoireRésumé : Les équipements culturels constituent un élément central de l’image des villes. Lorsque leur lieu d’implantation est la banlieue, l’action publique doit faire face à une situation de double contrainte quant à leur éventuelle spécialisation : faut-il se conformer au paradigme dominant de la ville-centre dans le but de faire du territoire concerné « un territoire comme les autres », au risque de nier la spécificité de ses habitants et d’accentuer leur sentiment d’injustice, ou, au contraire, favoriser une esthétique différente, plus proche du territoire et de ses habitants, mais également susceptible de renforcer la stigmatisation ?
L’objet de cet article est d’étudier les controverses qui portent sur deux équipements culturels analogues, le projet de Centre des cultures du monde sur la rive droite de l’agglomération bordelaise, stigmatisée localement, et le Café-musique l’Affranchi, lieu dédié au hip-hop, qui se situe dans un quartier périphérique de Marseille. Deux choix opposés ont été effectués, et la comparaison permet de mettre en évidence le rôle des variables idéologiques et politiques dans la prise de décision : au nom d’un principe de démocratisation culturelle inséparable d’une idéologie « républicaine », le projet initial destiné à la rive droite de Bordeaux a été remplacé par celui d’un équipement culturel traditionnel, de manière à attirer les classes moyennes, dans une logique de rattrapage par rapport au reste de l’agglomération en général et à la ville-centre en particulier, symbole de la « grande » culture ; inversement, la municipalité de Marseille fait une sorte de pari : elle fait de son soutien au hip-hop un élément d’une politique d’image appuyée et généralisée qui vise à retourner le stigmate en emblème.En ligne : https://journals.openedition.org/volume/2413?lang=en&gathStatIcon=true Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9320 Quelle musique pour les quartiers : Deux équipements culturels controversés [texte imprimé] / Loïc Lafargue de Grangeneuve . - 2002.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : B:Banlieues
B:Bordeaux
C:Controverse
E:Esthétique
F:France
M:Marseille
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
R:RĂ©pertoires d'action
S:socio-politique
S:Sociologie de la culture
S:Sociologie de la musique
S:Stigmatisation
T:TerritoireRésumé : Les équipements culturels constituent un élément central de l’image des villes. Lorsque leur lieu d’implantation est la banlieue, l’action publique doit faire face à une situation de double contrainte quant à leur éventuelle spécialisation : faut-il se conformer au paradigme dominant de la ville-centre dans le but de faire du territoire concerné « un territoire comme les autres », au risque de nier la spécificité de ses habitants et d’accentuer leur sentiment d’injustice, ou, au contraire, favoriser une esthétique différente, plus proche du territoire et de ses habitants, mais également susceptible de renforcer la stigmatisation ?
L’objet de cet article est d’étudier les controverses qui portent sur deux équipements culturels analogues, le projet de Centre des cultures du monde sur la rive droite de l’agglomération bordelaise, stigmatisée localement, et le Café-musique l’Affranchi, lieu dédié au hip-hop, qui se situe dans un quartier périphérique de Marseille. Deux choix opposés ont été effectués, et la comparaison permet de mettre en évidence le rôle des variables idéologiques et politiques dans la prise de décision : au nom d’un principe de démocratisation culturelle inséparable d’une idéologie « républicaine », le projet initial destiné à la rive droite de Bordeaux a été remplacé par celui d’un équipement culturel traditionnel, de manière à attirer les classes moyennes, dans une logique de rattrapage par rapport au reste de l’agglomération en général et à la ville-centre en particulier, symbole de la « grande » culture ; inversement, la municipalité de Marseille fait une sorte de pari : elle fait de son soutien au hip-hop un élément d’une politique d’image appuyée et généralisée qui vise à retourner le stigmate en emblème.En ligne : https://journals.openedition.org/volume/2413?lang=en&gathStatIcon=true Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9320 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Voix signifiantes / Marc Martinez / Madrid [Espagne] : Revue Thélème - Université COMPULTENSE Madrid (2009)
Titre : Voix signifiantes : Le cas du rap français Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Martinez (Isabelle) Editeur : Madrid [Espagne] : Revue Thélème - Université COMPULTENSE Madrid Année de publication : 2009 Langues : Français Langues originales : Espagnol Catégories : E:Esthétique
M:Musicologie
R:Rap
R:Rap (France)
R:Rap francophone
S:Socio-linguistique
V:VoixRésumé : Cet article présente une description de la voix en tant qu’instance à la fois linguistique et musicale, performative et symbolique dans les musiques actuelles. En tant que métonymie du sujet-interprète-auteur et de la chanson elle-même, la voix est un paramètre à considérer absolument pour la compréhension et l’interprétation des musiques populaires contemporaines. Le rap français, intégrant de plein droit le champ de la chanson française contemporaine, constitue un exemple phare de l’importance de la voix dans la configuration d’un genre et d’une esthétique singuliers. En ligne : https://www.academia.edu/7942572/Voix_signifiantes_le_cas_du_rap_fran%C3%A7ais Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9319 Voix signifiantes : Le cas du rap français [texte imprimé] / Marc Martinez (Isabelle) . - Madrid (Avda.de Seneca, 2 Ciudad Universitaria, 28040, Espagne) : Revue Thélème - Université COMPULTENSE Madrid, 2009.
Langues : Français Langues originales : Espagnol
Catégories : E:Esthétique
M:Musicologie
R:Rap
R:Rap (France)
R:Rap francophone
S:Socio-linguistique
V:VoixRésumé : Cet article présente une description de la voix en tant qu’instance à la fois linguistique et musicale, performative et symbolique dans les musiques actuelles. En tant que métonymie du sujet-interprète-auteur et de la chanson elle-même, la voix est un paramètre à considérer absolument pour la compréhension et l’interprétation des musiques populaires contemporaines. Le rap français, intégrant de plein droit le champ de la chanson française contemporaine, constitue un exemple phare de l’importance de la voix dans la configuration d’un genre et d’une esthétique singuliers. En ligne : https://www.academia.edu/7942572/Voix_signifiantes_le_cas_du_rap_fran%C3%A7ais Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9319 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Fardes Exclu du prêt