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Auteur Isabelle Kauffmann |
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Compétition dansées et globalisation culturelle. Le cas du Hip-hop [article] / Isabelle Kauffmann / journal des anthropologues (12/08/2014)
Titre : Compétition dansées et globalisation culturelle. Le cas du Hip-hop [article] Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Kauffmann Editeur : journal des anthropologues Année de publication : 12/08/2014 Catégories : D:Danse hip hop (France)
M:MĂ©dias
M:MondialisationRĂ©sumĂ© : "NĂ©e de migrations internationales et de la globalisation, la pratique de la danse hip?hop se caractĂ©rise par une mobilitĂ© spatiale et sociale. Ă€ ce titre, elle constitue un terrain privilĂ©giĂ© pour observer les façons dont une sous?culture naĂ®t et Ă©volue dans un contexte de mondialisation des Ă©chanÂges. C’est sous l’angle agonistique puis compĂ©titif que cette internationaliÂsation s’est dĂ©veloppĂ©e, en s’appuyant sur des mĂ©dias qui varient d’une dĂ©cennie Ă une autre. Loin d’être une source d’homogĂ©nĂ©isation, la globaÂlisation de la danse hip?hop s’appuie au contraire sur des allers?retours entre l’AmĂ©rique et ses diffĂ©rents Ă©mules, ainsi qu’entre ces derniers. Le contexte français se manifeste notamment par la requalification sociale d’une jeunesse stigmatisĂ©e." Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=8408 CompĂ©tition dansĂ©es et globalisation culturelle. Le cas du Hip-hop [article] [texte imprimĂ©] / Isabelle Kauffmann . - [S.l.] : journal des anthropologues, 12/08/2014.
Catégories : D:Danse hip hop (France)
M:MĂ©dias
M:MondialisationRĂ©sumĂ© : "NĂ©e de migrations internationales et de la globalisation, la pratique de la danse hip?hop se caractĂ©rise par une mobilitĂ© spatiale et sociale. Ă€ ce titre, elle constitue un terrain privilĂ©giĂ© pour observer les façons dont une sous?culture naĂ®t et Ă©volue dans un contexte de mondialisation des Ă©chanÂges. C’est sous l’angle agonistique puis compĂ©titif que cette internationaliÂsation s’est dĂ©veloppĂ©e, en s’appuyant sur des mĂ©dias qui varient d’une dĂ©cennie Ă une autre. Loin d’être une source d’homogĂ©nĂ©isation, la globaÂlisation de la danse hip?hop s’appuie au contraire sur des allers?retours entre l’AmĂ©rique et ses diffĂ©rents Ă©mules, ainsi qu’entre ces derniers. Le contexte français se manifeste notamment par la requalification sociale d’une jeunesse stigmatisĂ©e." Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=8408 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Fardes Exclu du prêt La danse hip-hop: apprentissage, transmission, socialisation [rapport] / Roberta Shapiro / 10/2002
Titre : La danse hip-hop: apprentissage, transmission, socialisation [rapport] Type de document : texte imprimé Auteurs : Roberta Shapiro ; Isabelle Kauffmann ; Felicia McCarren Année de publication : 10/2002 Note générale : Rapport pour la Mission du patrimoine ethnologique
Ministère de la Culture et de la Communication
Laboratoire architecture, usage, altérité (Laua)CatĂ©gories : C:Cours de danse
D:Danse hip-hop
H:Histoire de la danse
S:Sociologie de la danseRésumé : Depuis quelques années cependant, et tout particulièrement en France, l’une des composantes du mouvement connaît un processus d’institutionnalisation et se voit requalifiée en « courant de la danse contemporaine ». C’est à ce processus de transformation que nous souhaitons réfléchir ici. Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=3648 La danse hip-hop: apprentissage, transmission, socialisation [rapport] [texte imprimé] / Roberta Shapiro ; Isabelle Kauffmann ; Felicia McCarren . - 10/2002.
Rapport pour la Mission du patrimoine ethnologique
Ministère de la Culture et de la Communication
Laboratoire architecture, usage, altérité (Laua)
Catégories : C:Cours de danse
D:Danse hip-hop
H:Histoire de la danse
S:Sociologie de la danseRésumé : Depuis quelques années cependant, et tout particulièrement en France, l’une des composantes du mouvement connaît un processus d’institutionnalisation et se voit requalifiée en « courant de la danse contemporaine ». C’est à ce processus de transformation que nous souhaitons réfléchir ici. Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=3648 Exemplaires
Support Localisation Section DisponibilitĂ© Catalogue Biblio Saint-Gilles Rapport Centre de doc. Mémoires et dossiers Exclu du prĂŞt GĂ©nĂ©ration du hip-hop [thèse] / Isabelle Kauffmann / Nantes [France] : UniversitĂ© de Nantes (2007)
Titre : Génération du hip-hop [thèse] : Danser au défi des assignations Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Kauffmann Editeur : Nantes [France] : Université de Nantes Année de publication : 2007 Langues : Français Langues originales : Français Catégories : A:Autonomie
D:Danse
E:Ethnographie
F:France
H:Hip-hop
H:Histoire de la danse
H:Histoire du hip-hop
L:Luttes (symbolique)
M:Mondes de l'art
S:Socialisation
T:thèseRésumé : Il est des générations qui rompent d’autant plus avec leurs aînés qu’on ne les attend pas. C’est d’une certaine manière le destin social promis aux enfants des immigrés des « Trente Glorieuses », ouvriers appelés à repartir dans « leur » pays, une fois les besoins en main d’œuvre satisfaits. Par définition, cette migration de travail n’était pas supposée devenir migration de peuplement, autrement dit, les ouvriers qui étaient venus travailler en France n’étaient pas censés y faire souche. Dans un tel contexte, quelle place incombait-il aux enfants de la « double absence » ? La dégradation du marché du travail exacerba le problème, tout en le brouillant. Les enfants d’ouvriers ou de chômeurs se trouvèrent eux aussi « à côté de leur place ». Cette impasse, dans laquelle se situe une partie de la jeunesse populaire depuis la fin des années 1970, permet de rendre raison de l’engagement dans le hip-hop. Au premier abord, ce point de vue, quasi-historique, est peu lisible dans les conditions de vie des danseurs enquêtés. On pourrait presque l’oublier tant le contraste est saisissant entre l’avenir, d’un côté assigné (fils d’ouvriers, d’employés, élèves de filières techniques, relégués dans des métiers dévalorisés), de l’autre nié (enfants de chômeurs, eux-mêmes exclus du marché du travail ou maintenus à sa marge) et l’univers hip-hop qui va prendre forme au cours des années 1980. Sans doute est-ce d’ailleurs l’un des sens donné à ce mouvement par ses membres : « une lutte [...] à la recherche de son propre langage, pour se réapproprier un pouvoir de se définir. » Et c’est dans cette perspective que nous avons cherché à comprendre la genèse de la danse hip-hop en France.
Cependant, avant de nous intéresser au contexte de production du hip-hop, nous avions décidé d’inclure notre problématique dans le champ de la sociologie de l’art. Nous étions engagée dans des questionnements sur le passage de cette danse d’une pratique « ludique » à une pratique « artistique ». La première e?tait alors principalement pensée comme non autonomisée de son contexte de production, la seconde était décrite comme un monde (au sens beckerien), autrement dit une pratique rationelle et structurée, « adulte » pourrait-on dire. Mais rapidement, la réalité de notre terrain nous à sembler contredire ce point de vue dominocentrqiue et nous nous sommes posé la question de l’autonomie de la danse hip-hop en tant qu’espace social. Par autonomie, il ne s'agissait pas de décrire l’autonomisation d’une pratique et un d’un groupe social « par le haut », dans un processus d’institutionnalisation et d’ascension sociale qui permet de s’autonomiser, par exemple, du champ économique ou politique, comme Pierre Bourdieu l’analyse dans Les règles de l’art. Dans le cas du hip- hop, on a au contraire affaire à une autonomie « par défaut », liée à la position minorisée des adeptes de ce genre. Ce n’est pas ici une conquête d’autonomie mais une lutte pour son maintien et sa reconnaissance par les instances hétéronomes avec lesquelles les danseurs vont être en contact (théâtres, centres d’animation, collectivités territoriales, etc.). C’est dans un climat de rupture, avec l’« Art » et avec les « Institutions », que nous avons finalement construit notre problématique; cherchant d’abord des différences là où il n’y avait peut-être que des nuances et des successions, là où il aurait sans doute fallu voir des superpositions. Penser le hip-hop comme espace de socialisation nous a finalement permis d’analyser son autonomie.En ligne : https://www.academia.edu/19650229/Generation_du_hip_hop Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9302 Génération du hip-hop [thèse] : Danser au défi des assignations [texte imprimé] / Isabelle Kauffmann . - Nantes (Chemin de la Censive du Tertre, 44312, France) : Université de Nantes, 2007.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : A:Autonomie
D:Danse
E:Ethnographie
F:France
H:Hip-hop
H:Histoire de la danse
H:Histoire du hip-hop
L:Luttes (symbolique)
M:Mondes de l'art
S:Socialisation
T:thèseRésumé : Il est des générations qui rompent d’autant plus avec leurs aînés qu’on ne les attend pas. C’est d’une certaine manière le destin social promis aux enfants des immigrés des « Trente Glorieuses », ouvriers appelés à repartir dans « leur » pays, une fois les besoins en main d’œuvre satisfaits. Par définition, cette migration de travail n’était pas supposée devenir migration de peuplement, autrement dit, les ouvriers qui étaient venus travailler en France n’étaient pas censés y faire souche. Dans un tel contexte, quelle place incombait-il aux enfants de la « double absence » ? La dégradation du marché du travail exacerba le problème, tout en le brouillant. Les enfants d’ouvriers ou de chômeurs se trouvèrent eux aussi « à côté de leur place ». Cette impasse, dans laquelle se situe une partie de la jeunesse populaire depuis la fin des années 1970, permet de rendre raison de l’engagement dans le hip-hop. Au premier abord, ce point de vue, quasi-historique, est peu lisible dans les conditions de vie des danseurs enquêtés. On pourrait presque l’oublier tant le contraste est saisissant entre l’avenir, d’un côté assigné (fils d’ouvriers, d’employés, élèves de filières techniques, relégués dans des métiers dévalorisés), de l’autre nié (enfants de chômeurs, eux-mêmes exclus du marché du travail ou maintenus à sa marge) et l’univers hip-hop qui va prendre forme au cours des années 1980. Sans doute est-ce d’ailleurs l’un des sens donné à ce mouvement par ses membres : « une lutte [...] à la recherche de son propre langage, pour se réapproprier un pouvoir de se définir. » Et c’est dans cette perspective que nous avons cherché à comprendre la genèse de la danse hip-hop en France.
Cependant, avant de nous intéresser au contexte de production du hip-hop, nous avions décidé d’inclure notre problématique dans le champ de la sociologie de l’art. Nous étions engagée dans des questionnements sur le passage de cette danse d’une pratique « ludique » à une pratique « artistique ». La première e?tait alors principalement pensée comme non autonomisée de son contexte de production, la seconde était décrite comme un monde (au sens beckerien), autrement dit une pratique rationelle et structurée, « adulte » pourrait-on dire. Mais rapidement, la réalité de notre terrain nous à sembler contredire ce point de vue dominocentrqiue et nous nous sommes posé la question de l’autonomie de la danse hip-hop en tant qu’espace social. Par autonomie, il ne s'agissait pas de décrire l’autonomisation d’une pratique et un d’un groupe social « par le haut », dans un processus d’institutionnalisation et d’ascension sociale qui permet de s’autonomiser, par exemple, du champ économique ou politique, comme Pierre Bourdieu l’analyse dans Les règles de l’art. Dans le cas du hip- hop, on a au contraire affaire à une autonomie « par défaut », liée à la position minorisée des adeptes de ce genre. Ce n’est pas ici une conquête d’autonomie mais une lutte pour son maintien et sa reconnaissance par les instances hétéronomes avec lesquelles les danseurs vont être en contact (théâtres, centres d’animation, collectivités territoriales, etc.). C’est dans un climat de rupture, avec l’« Art » et avec les « Institutions », que nous avons finalement construit notre problématique; cherchant d’abord des différences là où il n’y avait peut-être que des nuances et des successions, là où il aurait sans doute fallu voir des superpositions. Penser le hip-hop comme espace de socialisation nous a finalement permis d’analyser son autonomie.En ligne : https://www.academia.edu/19650229/Generation_du_hip_hop Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9302 Exemplaires
Support Localisation Section DisponibilitĂ© Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Mémoires et dossiers Exclu du prĂŞt Musique et danse hip-hop, des liens Ă©troits Ă l'Ă©preuve de la professionnalisation [article] / Isabelle Kauffmann / Volume! (2004)
Titre : Musique et danse hip-hop, des liens étroits à l'épreuve de la professionnalisation [article] Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Kauffmann Editeur : Volume! Année de publication : 2004 Catégories : D:Danse hip-hop
M:Musique hip-hop
P:Professionnalisation
S:Sociologie du hip-hopRésumé : Le hip-hop est né et s’est formalisé dans la fête de quartier et la boîte de nuit. Ce contexte de production toujours actif génère des liens ténus entre musique et danse sur le plan esthétique et social. Les divisions stylistiques chorégraphiques sont structurées musicalement. Cela guide l’apprentissage et les goûts musicaux des danseurs ainsi que leur écoute, qui existe d’abord pour la danse. Le rapport des danseurs à la musique est effectivement marqué par une écoute collective liée au rôle du D.J. et des soirées, moteur du groupe social hip-hop. La pratique collective de la danse induit par ailleurs une écoute commune de la musique, et contribue à la cohésion stylistique et sociale de l’espace chorégraphique hip-hop. Ces codes spécifiques partagés sont source d’une cohésion accrue quand ils sont des critères de distinction dans une joute chorégraphique. Cette configuration est en cours d’institutionnalisation dans le champ des compétitions chorégraphiques hip-hop : les battles.
Avec la professionnalisation qui se développe dans la musique et la danse, les relations sociales au sein du hip-hop et l’organisation des groupes de danseurs est perturbée. Le statut de danseur hip-hop se divise en danseur d’un côté, chorégraphe de l’autre. Il devient parfois compositeur de la musique des chorégraphies qu’il dirige. Il s’ensuit une innovation musicale spécifique à la danse hip-hop de théâtre. D’autre part, le danseur voit son ancien alter ego prendre une place dans une hiérarchie nouvelle, qui le situe au second plan. Il se trouve dépossédé de sa fonction de créateur, spécifique à la danse d’improvisation caractéristique du hip-hop.
Dans ce contexte de changement, les choix musicaux sont significatifs d’un positionnement vis-à -vis d’une norme esthétique, et de l’assimilation plus ou moins grande des traits stylistiques de la danse de battle, danse amateur, en cours d’institutionnalisation, à la danse de théâtre, professionnelle et instituée.Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=6543 Musique et danse hip-hop, des liens étroits à l'épreuve de la professionnalisation [article] [texte imprimé] / Isabelle Kauffmann . - [S.l.] : Volume!, 2004.
Catégories : D:Danse hip-hop
M:Musique hip-hop
P:Professionnalisation
S:Sociologie du hip-hopRésumé : Le hip-hop est né et s’est formalisé dans la fête de quartier et la boîte de nuit. Ce contexte de production toujours actif génère des liens ténus entre musique et danse sur le plan esthétique et social. Les divisions stylistiques chorégraphiques sont structurées musicalement. Cela guide l’apprentissage et les goûts musicaux des danseurs ainsi que leur écoute, qui existe d’abord pour la danse. Le rapport des danseurs à la musique est effectivement marqué par une écoute collective liée au rôle du D.J. et des soirées, moteur du groupe social hip-hop. La pratique collective de la danse induit par ailleurs une écoute commune de la musique, et contribue à la cohésion stylistique et sociale de l’espace chorégraphique hip-hop. Ces codes spécifiques partagés sont source d’une cohésion accrue quand ils sont des critères de distinction dans une joute chorégraphique. Cette configuration est en cours d’institutionnalisation dans le champ des compétitions chorégraphiques hip-hop : les battles.
Avec la professionnalisation qui se développe dans la musique et la danse, les relations sociales au sein du hip-hop et l’organisation des groupes de danseurs est perturbée. Le statut de danseur hip-hop se divise en danseur d’un côté, chorégraphe de l’autre. Il devient parfois compositeur de la musique des chorégraphies qu’il dirige. Il s’ensuit une innovation musicale spécifique à la danse hip-hop de théâtre. D’autre part, le danseur voit son ancien alter ego prendre une place dans une hiérarchie nouvelle, qui le situe au second plan. Il se trouve dépossédé de sa fonction de créateur, spécifique à la danse d’improvisation caractéristique du hip-hop.
Dans ce contexte de changement, les choix musicaux sont significatifs d’un positionnement vis-à -vis d’une norme esthétique, et de l’assimilation plus ou moins grande des traits stylistiques de la danse de battle, danse amateur, en cours d’institutionnalisation, à la danse de théâtre, professionnelle et instituée.Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=6543 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Fardes Exclu du prêt