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Le street art comme outil fédérateur des opérateurs d’une ville et de sa redynamisation [mémoire] / Célia Cosseddu / Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve (2017)
Titre : Le street art comme outil fédérateur des opérateurs d’une ville et de sa redynamisation [mémoire] : Le cas du festival Asphalte à Charleroi Type de document : texte imprimé Auteurs : Célia Cosseddu Editeur : Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve Année de publication : 2017 Importance : 45 p. Langues : Français Langues originales : Français Catégories : C:Charleroi
G:Graffiti
H:Histoire du graffiti
H:Histoire du hip-hop
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
S:socio-politique
S:Sociologie
S:Sociologie du street art
S:Street artRésumé : Le street art est une forme artistique dont l’évolution suscite l’intérêt de plus en plus de chercheurs au fils des ans. A l’instar des grandes vedettes qui ont commencé en performant « dans leur garage », le street art, d’origine précaire, est apparu dans la rue, à New York, dans les années ‘70. C’est dans un contexte particulièrement dangereux et inégalitaire qu’un mouvement de non-violence émerge, le hip-hop. Au sein de cette contre-culture a surgi l’idée de dessiner, d’écrire sur les murs en signe de contestation silencieuse. Par la suite, bien loin du tag primaire, le street art a évolué vers un véritable mode d'expression artistique, utilisant de nombreuses techniques dans le but de réaliser des fresques devenant parfois célèbres. Dans le cadre de ce mémoire, cette évolution de la pratique sera abordée, puisque le street art, d’origine contestataire, s’est finalement retrouvé intégré dans les réseaux professionnels traditionnels, qui le rejetaient et inversement jusque là . Sans vouloir entrer dans un énième débat sur la problématique de récupération du street art par ces institutions traditionnelles, ce mémoire abordera des questions plus spécifiques sur un cas pratique carolo, le festival Asphalte. La ville de Charleroi connaît, depuis de nombreuses années, les tags et graffitis sur les rues de son centre et de sa périphérie immédiate. Cette ancienne ville industrielle offre aux street artistes un paysage plutôt étonnant et susceptible d’accroître leur inspiration. En ligne : https://dial.uclouvain.be/downloader/downloader.php?pid=thesis%3A11184&datastrea [...] Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9305 Le street art comme outil fédérateur des opérateurs d’une ville et de sa redynamisation [mémoire] : Le cas du festival Asphalte à Charleroi [texte imprimé] / Célia Cosseddu . - Louvain-La-Neuve (Collège J. Leclercq - n°4, Place Montesquieu, L2.05.01, 1348, Belgique) : Université catholique de Louvain-La-Neuve, 2017 . - 45 p.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : C:Charleroi
G:Graffiti
H:Histoire du graffiti
H:Histoire du hip-hop
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
S:socio-politique
S:Sociologie
S:Sociologie du street art
S:Street artRésumé : Le street art est une forme artistique dont l’évolution suscite l’intérêt de plus en plus de chercheurs au fils des ans. A l’instar des grandes vedettes qui ont commencé en performant « dans leur garage », le street art, d’origine précaire, est apparu dans la rue, à New York, dans les années ‘70. C’est dans un contexte particulièrement dangereux et inégalitaire qu’un mouvement de non-violence émerge, le hip-hop. Au sein de cette contre-culture a surgi l’idée de dessiner, d’écrire sur les murs en signe de contestation silencieuse. Par la suite, bien loin du tag primaire, le street art a évolué vers un véritable mode d'expression artistique, utilisant de nombreuses techniques dans le but de réaliser des fresques devenant parfois célèbres. Dans le cadre de ce mémoire, cette évolution de la pratique sera abordée, puisque le street art, d’origine contestataire, s’est finalement retrouvé intégré dans les réseaux professionnels traditionnels, qui le rejetaient et inversement jusque là . Sans vouloir entrer dans un énième débat sur la problématique de récupération du street art par ces institutions traditionnelles, ce mémoire abordera des questions plus spécifiques sur un cas pratique carolo, le festival Asphalte. La ville de Charleroi connaît, depuis de nombreuses années, les tags et graffitis sur les rues de son centre et de sa périphérie immédiate. Cette ancienne ville industrielle offre aux street artistes un paysage plutôt étonnant et susceptible d’accroître leur inspiration. En ligne : https://dial.uclouvain.be/downloader/downloader.php?pid=thesis%3A11184&datastrea [...] Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9305 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Mémoires et dossiers Exclu du prêt L’usage du format vidéo par l’artiste musical sur les réseaux sociaux [mémoire] / Avishaï Tepper / Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve (2020)
Titre : L’usage du format vidéo par l’artiste musical sur les réseaux sociaux [mémoire] : Comment susciter l’engagement du public ? Analyse comparative de six artistes belges au sein du genre musical Hip-Hop/Rap Type de document : texte imprimé Auteurs : Avishaï Tepper Editeur : Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve Année de publication : 2020 Langues : Français Langues originales : Français Catégories : C:Clip vidéo
E:Economie
M:Sociologie de la promotion
N:Numérique
R:réseaux sociaux
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du rap
V:VidéoRésumé : Au sein d’une industrie culturelle imprévisible, l’œuvre culturelle se distingue par la difficulté à prédire son succès économique. En conséquence, ce contexte instable implique inévitablement une promotion vouée à gérer cette incertitude de succès. Parallèlement, l’émergence du Web 2.0 et des réseaux sociaux a bouleversé les tendances de l’industrie musicale. Des sites de partages peer-to-peer tels que Napster et YouTube ont engendré un vaste mouvement de dématérialisation du bien musical. La plate-forme vidéo YouTube a d’ailleurs eu l’effet d’un second souffle pour le clip-vidéo, longtemps restreint par le flux unidimensionnel et line?aire de la télévision. La diminution des coûts de production et de diffusion ont également considérablement facilité l’entrée sur le marché musical, faisant du clip-vidéo un outil promotionnel à la portée de tous. Ce mémoire analyse l’usage vidéo de six artistes belges ayant sorti un clip en 2019 au sein du genre musical Hip-Hop/Rap. Dans le contexte des trois réseaux sociaux majeurs (YouTube, Facebook et Instagram), nous tentons de discerner comment un artiste musical use du format vidéo durant la promotion d’un clip afin d’engager le public et de susciter une réaction de celui-ci. En ligne : http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:22959 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9306 L’usage du format vidéo par l’artiste musical sur les réseaux sociaux [mémoire] : Comment susciter l’engagement du public ? Analyse comparative de six artistes belges au sein du genre musical Hip-Hop/Rap [texte imprimé] / Avishaï Tepper . - Louvain-La-Neuve (Collège J. Leclercq - n°4, Place Montesquieu, L2.05.01, 1348, Belgique) : Université catholique de Louvain-La-Neuve, 2020.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : C:Clip vidéo
E:Economie
M:Sociologie de la promotion
N:Numérique
R:réseaux sociaux
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du rap
V:VidéoRésumé : Au sein d’une industrie culturelle imprévisible, l’œuvre culturelle se distingue par la difficulté à prédire son succès économique. En conséquence, ce contexte instable implique inévitablement une promotion vouée à gérer cette incertitude de succès. Parallèlement, l’émergence du Web 2.0 et des réseaux sociaux a bouleversé les tendances de l’industrie musicale. Des sites de partages peer-to-peer tels que Napster et YouTube ont engendré un vaste mouvement de dématérialisation du bien musical. La plate-forme vidéo YouTube a d’ailleurs eu l’effet d’un second souffle pour le clip-vidéo, longtemps restreint par le flux unidimensionnel et line?aire de la télévision. La diminution des coûts de production et de diffusion ont également considérablement facilité l’entrée sur le marché musical, faisant du clip-vidéo un outil promotionnel à la portée de tous. Ce mémoire analyse l’usage vidéo de six artistes belges ayant sorti un clip en 2019 au sein du genre musical Hip-Hop/Rap. Dans le contexte des trois réseaux sociaux majeurs (YouTube, Facebook et Instagram), nous tentons de discerner comment un artiste musical use du format vidéo durant la promotion d’un clip afin d’engager le public et de susciter une réaction de celui-ci. En ligne : http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:22959 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9306 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Mémoires et dossiers Exclu du prêt La problématique du "graffitisme" [mémoire] / Estelle Delbart / Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve (2020)
Titre : La problématique du "graffitisme" [mémoire] : Dispositifs locaux et résistances. Le cas de la ville de Namur Type de document : texte imprimé Auteurs : Estelle Delbart Editeur : Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve Année de publication : 2020 Importance : 101 p. Langues : Français Langues originales : Français Catégories : A:Analyse du graffiti
C:Corps
G:Genre
G:Graffiti
G:Graffiti (Belgique)
H:Histoire du graffiti
N:Namur
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
S:socio-politique
S:Sociologie du graffiti
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du street artRésumé : Quiconque s’est déjà baladé en ville, à pied, à vélo ou en voiture, a déjà aperçu des « tags » et des « graffitis » revêtir l’espace urbain de manière omniprésente. En effet, ces écritures, gravures et peintures font partie intégrante de la culture citadine d’aujourd’hui. Si quelques adolescents utilisent leur corps pour laisser des traces en se faisant des tatouages, des piercings, voire des scarifications, certains laissent d’autres genres de traces sur le mobilier urbain. A cet effet, il a été reconnu une certaine correspondance dans la finalité des marquages corporels que font davantage les filles et celle des marquages sur les murs que font davantage les garçons. Cela pourrait être expliqué par le fait que dans notre société occidentale, chez les filles, c’est le corps qui est mis en avant, alors que chez les garçons, on met en avant le fait d’agir.
Ces inscriptions et dessins urbains souvent réalisés sur des propriétés publiques ou privées ne font pas toujours l’unanimité : tantôt perçus comme de l’art urbain, une manière de s’exprimer aux yeux de tous, et tantôt perçus comme une forme de pollution, du vandalisme, une agression visuelle, ou encore une atteinte aux droits de tiers. Selon certains, cela peut également traduire un ordre social déclinant, voire un ordre moral en danger. Enfin, d’autres peuvent aussi retrouver de la violence urbaine dans cette pratique souvent énigmatique pour le profane.
Ce phénomène réalisé sur tout endroit ouvert à la vue du public est parfois considéré comme persistant, voire irrémédiable. C’est pourquoi, au travers de ce mémoire de fin d’études qui bouclera ces années de master en criminologie, nous allons tenter de comprendre comment les autorités qui partagent la responsabilité de ce phénomène qui peut être vu comme un problème, se représentent la pratique du graffitisme et les dispositifs qu’elles mettent en place pour contrer ces pratiques. In fine, cette recherche tentera de comprendre quelles sont les résistances que les graffeurs installent, ou non, face à cela. Vivant près de la ville, ce phénomène que je peux apercevoir depuis mon enfance m’a toujours intriguée. J’ai donc choisi le thème des « tags en milieu urbain » pour, d’une part, satisfaire ma curiosité personnelle, comprendre qui sont les graffeurs et surtout quelles sont les raisons de leur passage à l’acte. D’autre part, au fil des années, il était devenu flagrant que le phénomène du « graffitisme » était en train de muter pour s’associer à de l’art. Les fresques artistiques réalisées grâce aux mêmes techniques que le graffiti vandale se multipliaient et se multiplient encore aujourd’hui, que ce soit dans ma ville natale, dans la capitale, ou dans de nombreuses villes que j’ai pu visiter lors de voyages touristiques. Ces voyages m’ont également permis de remarquer que ce phénomène évoluait différemment d’un pays à l’autre, et même d’une ville à l’autre. J’ai donc choisi ce thème par intérêt pour celui-ci, parce que ce phénomène continue de se développer et constitue un réel sujet d’actualité.En ligne : http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:26819 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9307 La problématique du "graffitisme" [mémoire] : Dispositifs locaux et résistances. Le cas de la ville de Namur [texte imprimé] / Estelle Delbart . - Louvain-La-Neuve (Collège J. Leclercq - n°4, Place Montesquieu, L2.05.01, 1348, Belgique) : Université catholique de Louvain-La-Neuve, 2020 . - 101 p.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : A:Analyse du graffiti
C:Corps
G:Genre
G:Graffiti
G:Graffiti (Belgique)
H:Histoire du graffiti
N:Namur
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
S:socio-politique
S:Sociologie du graffiti
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du street artRésumé : Quiconque s’est déjà baladé en ville, à pied, à vélo ou en voiture, a déjà aperçu des « tags » et des « graffitis » revêtir l’espace urbain de manière omniprésente. En effet, ces écritures, gravures et peintures font partie intégrante de la culture citadine d’aujourd’hui. Si quelques adolescents utilisent leur corps pour laisser des traces en se faisant des tatouages, des piercings, voire des scarifications, certains laissent d’autres genres de traces sur le mobilier urbain. A cet effet, il a été reconnu une certaine correspondance dans la finalité des marquages corporels que font davantage les filles et celle des marquages sur les murs que font davantage les garçons. Cela pourrait être expliqué par le fait que dans notre société occidentale, chez les filles, c’est le corps qui est mis en avant, alors que chez les garçons, on met en avant le fait d’agir.
Ces inscriptions et dessins urbains souvent réalisés sur des propriétés publiques ou privées ne font pas toujours l’unanimité : tantôt perçus comme de l’art urbain, une manière de s’exprimer aux yeux de tous, et tantôt perçus comme une forme de pollution, du vandalisme, une agression visuelle, ou encore une atteinte aux droits de tiers. Selon certains, cela peut également traduire un ordre social déclinant, voire un ordre moral en danger. Enfin, d’autres peuvent aussi retrouver de la violence urbaine dans cette pratique souvent énigmatique pour le profane.
Ce phénomène réalisé sur tout endroit ouvert à la vue du public est parfois considéré comme persistant, voire irrémédiable. C’est pourquoi, au travers de ce mémoire de fin d’études qui bouclera ces années de master en criminologie, nous allons tenter de comprendre comment les autorités qui partagent la responsabilité de ce phénomène qui peut être vu comme un problème, se représentent la pratique du graffitisme et les dispositifs qu’elles mettent en place pour contrer ces pratiques. In fine, cette recherche tentera de comprendre quelles sont les résistances que les graffeurs installent, ou non, face à cela. Vivant près de la ville, ce phénomène que je peux apercevoir depuis mon enfance m’a toujours intriguée. J’ai donc choisi le thème des « tags en milieu urbain » pour, d’une part, satisfaire ma curiosité personnelle, comprendre qui sont les graffeurs et surtout quelles sont les raisons de leur passage à l’acte. D’autre part, au fil des années, il était devenu flagrant que le phénomène du « graffitisme » était en train de muter pour s’associer à de l’art. Les fresques artistiques réalisées grâce aux mêmes techniques que le graffiti vandale se multipliaient et se multiplient encore aujourd’hui, que ce soit dans ma ville natale, dans la capitale, ou dans de nombreuses villes que j’ai pu visiter lors de voyages touristiques. Ces voyages m’ont également permis de remarquer que ce phénomène évoluait différemment d’un pays à l’autre, et même d’une ville à l’autre. J’ai donc choisi ce thème par intérêt pour celui-ci, parce que ce phénomène continue de se développer et constitue un réel sujet d’actualité.En ligne : http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:26819 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9307 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Mémoires et dossiers Exclu du prêt La narration de soi dans le rap français contemporain [mémoire] / Alice Hendschel / Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve (2020)
Titre : La narration de soi dans le rap français contemporain [mémoire] : Se raconter comme corps social et comme voix proférée Type de document : texte imprimé Auteurs : Alice Hendschel Editeur : Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve Année de publication : 2020 Importance : 101 p. Langues : Français Langues originales : Français Catégories : A:Acte de langage
A:Action de reconnaissance
C:Corps
N:Narration
P:Phénoménologie
P:Psychologie
R:Rap
S:Socio-linguistique
S:socio-politique
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du rap
S:SoiRésumé : Ce mémoire a pour sujet la narration en « je » dans le rap français contemporain (période 2015-2019) : il s’agit de comprendre et de dénouer les différentes modalités par lesquels le soi s’y présente en tant, à la fois, que corps lacéré par le social et que voix proférée. Ainsi, ce mémoire se divise en deux parties principales, la première se concentrant sur la narration de soi comme corps socialisé, c’est-à -dire évoluant dans un contexte particulier qui influence en ce sens la manière dont le « je » se présente et se représente ; la seconde sur la narration de soi en tant qu’elle est une prise de parole – il faut alors comprendre, non plus ce qui est dit, mais pourquoi c’est dit. Ce mémoire s’attache donc à la fois à déplier les différents topos et lieux communs du rap français contemporain et ce qu’ils signifient pour un « je » s’exprimant ; et à tenter de comprendre ce que permet, à un second niveau, la prise de parole en ce qu’elle est à l’initiale de l’entrée du « je » dans la fiction. C’est, en effet, par le langage que le rappeur se représente : celui-ci ouvre une brèche symbolique propre au geste d’esthétisation, ouvrant sur de nouveaux champs de possibles. Comment le rappeur exprime-t-il la banlieue ? Comment le « je » exprime-t-il l’expérience ? Ce sont les questions qui traverseront l’ensemble de ce mémoire. En ligne : https://dial.uclouvain.be/memoire/ucl/fr/object/thesis%3A21335 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9308 La narration de soi dans le rap français contemporain [mémoire] : Se raconter comme corps social et comme voix proférée [texte imprimé] / Alice Hendschel . - Louvain-La-Neuve (Collège J. Leclercq - n°4, Place Montesquieu, L2.05.01, 1348, Belgique) : Université catholique de Louvain-La-Neuve, 2020 . - 101 p.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : A:Acte de langage
A:Action de reconnaissance
C:Corps
N:Narration
P:Phénoménologie
P:Psychologie
R:Rap
S:Socio-linguistique
S:socio-politique
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du rap
S:SoiRésumé : Ce mémoire a pour sujet la narration en « je » dans le rap français contemporain (période 2015-2019) : il s’agit de comprendre et de dénouer les différentes modalités par lesquels le soi s’y présente en tant, à la fois, que corps lacéré par le social et que voix proférée. Ainsi, ce mémoire se divise en deux parties principales, la première se concentrant sur la narration de soi comme corps socialisé, c’est-à -dire évoluant dans un contexte particulier qui influence en ce sens la manière dont le « je » se présente et se représente ; la seconde sur la narration de soi en tant qu’elle est une prise de parole – il faut alors comprendre, non plus ce qui est dit, mais pourquoi c’est dit. Ce mémoire s’attache donc à la fois à déplier les différents topos et lieux communs du rap français contemporain et ce qu’ils signifient pour un « je » s’exprimant ; et à tenter de comprendre ce que permet, à un second niveau, la prise de parole en ce qu’elle est à l’initiale de l’entrée du « je » dans la fiction. C’est, en effet, par le langage que le rappeur se représente : celui-ci ouvre une brèche symbolique propre au geste d’esthétisation, ouvrant sur de nouveaux champs de possibles. Comment le rappeur exprime-t-il la banlieue ? Comment le « je » exprime-t-il l’expérience ? Ce sont les questions qui traverseront l’ensemble de ce mémoire. En ligne : https://dial.uclouvain.be/memoire/ucl/fr/object/thesis%3A21335 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9308 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Mémoires et dossiers Exclu du prêt La Bitch, nouvelle figure du féminisme dans la culture populaire ? [mémoire] / Elena Diouf / Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve (2019)
Titre : La Bitch, nouvelle figure du féminisme dans la culture populaire ? [mémoire] : Analyse d'un phénomène subversif et intersectionnel dans le rap et RnB américain Type de document : texte imprimé Auteurs : Elena Diouf Editeur : Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve Année de publication : 2019 Importance : 47 p. Langues : Français Langues originales : Français Catégories : A:Action de reconnaissance
E:Emancipation
F:Féminisme
I:Intersectionnalité
P:Post-colonialisme
P:Psychologie
P:Psychologie sociale
R:Rap
R:RnB
S:socio-politique
S:SubversionRésumé : Nous assistons depuis quelques années déjà à une montée en puissance d'artistes féminines racisées américaines dans le monde du rap. Celle qu'on appelle aujourd'hui la Bitch fait débat. Est-elle féministe ou le porte-drapeau d'une lutte vide de sens ? Dans une société paradoxale qui demande aux femmes d'être libres mais pas trop, la Bitch pourrait bien être une réponse au système patriarcal qui définit la norme féminine occidentale. Ce travail propose de démontrer en quoi le personnage de la Bitch représente une figure contemporaine d'émancipation à travers des codes qui subvertissent les normes de genre et de race dans une perspective intersectionnelle et post-coloniale. En ligne : https://dial.uclouvain.be/memoire/ucl/fr/object/thesis%3A22031 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9312 La Bitch, nouvelle figure du féminisme dans la culture populaire ? [mémoire] : Analyse d'un phénomène subversif et intersectionnel dans le rap et RnB américain [texte imprimé] / Elena Diouf . - Louvain-La-Neuve (Collège J. Leclercq - n°4, Place Montesquieu, L2.05.01, 1348, Belgique) : Université catholique de Louvain-La-Neuve, 2019 . - 47 p.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : A:Action de reconnaissance
E:Emancipation
F:Féminisme
I:Intersectionnalité
P:Post-colonialisme
P:Psychologie
P:Psychologie sociale
R:Rap
R:RnB
S:socio-politique
S:SubversionRésumé : Nous assistons depuis quelques années déjà à une montée en puissance d'artistes féminines racisées américaines dans le monde du rap. Celle qu'on appelle aujourd'hui la Bitch fait débat. Est-elle féministe ou le porte-drapeau d'une lutte vide de sens ? Dans une société paradoxale qui demande aux femmes d'être libres mais pas trop, la Bitch pourrait bien être une réponse au système patriarcal qui définit la norme féminine occidentale. Ce travail propose de démontrer en quoi le personnage de la Bitch représente une figure contemporaine d'émancipation à travers des codes qui subvertissent les normes de genre et de race dans une perspective intersectionnelle et post-coloniale. En ligne : https://dial.uclouvain.be/memoire/ucl/fr/object/thesis%3A22031 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9312 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Mémoires et dossiers Exclu du prêt Quelles représentations fait-on des femmes dans les clips de rap américain ? [mémoire] / Sarah Nyundu Ntumba / Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve (2019)
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