Ce centre de doc comporte des livres, articles de presse, films de fiction et documentaires, cds de rap belge, mémoires d’étudiants… Vous pouvez découvrir cette matière en explorant notre catalogue ci-dessous.
Attention, celui-ci n’est pas exhaustif, le processus d’encodage des documents étant continu. Donc n’hésitez pas à venir fouiller directement dans nos rayons, vous y ferez encore d’autres découvertes !
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La narration de soi dans le rap français contemporain [mémoire] / Alice Hendschel / Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve (2020)
Titre : La narration de soi dans le rap français contemporain [mémoire] : Se raconter comme corps social et comme voix proférée Type de document : texte imprimé Auteurs : Alice Hendschel Editeur : Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve Année de publication : 2020 Importance : 101 p. Langues : Français Langues originales : Français Catégories : A:Acte de langage
A:Action de reconnaissance
C:Corps
N:Narration
P:Phénoménologie
P:Psychologie
R:Rap
S:Socio-linguistique
S:socio-politique
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du rap
S:SoiRésumé : Ce mémoire a pour sujet la narration en « je » dans le rap français contemporain (période 2015-2019) : il s’agit de comprendre et de dénouer les différentes modalités par lesquels le soi s’y présente en tant, à la fois, que corps lacéré par le social et que voix proférée. Ainsi, ce mémoire se divise en deux parties principales, la première se concentrant sur la narration de soi comme corps socialisé, c’est-à -dire évoluant dans un contexte particulier qui influence en ce sens la manière dont le « je » se présente et se représente ; la seconde sur la narration de soi en tant qu’elle est une prise de parole – il faut alors comprendre, non plus ce qui est dit, mais pourquoi c’est dit. Ce mémoire s’attache donc à la fois à déplier les différents topos et lieux communs du rap français contemporain et ce qu’ils signifient pour un « je » s’exprimant ; et à tenter de comprendre ce que permet, à un second niveau, la prise de parole en ce qu’elle est à l’initiale de l’entrée du « je » dans la fiction. C’est, en effet, par le langage que le rappeur se représente : celui-ci ouvre une brèche symbolique propre au geste d’esthétisation, ouvrant sur de nouveaux champs de possibles. Comment le rappeur exprime-t-il la banlieue ? Comment le « je » exprime-t-il l’expérience ? Ce sont les questions qui traverseront l’ensemble de ce mémoire. En ligne : https://dial.uclouvain.be/memoire/ucl/fr/object/thesis%3A21335 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9308 La narration de soi dans le rap français contemporain [mémoire] : Se raconter comme corps social et comme voix proférée [texte imprimé] / Alice Hendschel . - Louvain-La-Neuve (Collège J. Leclercq - n°4, Place Montesquieu, L2.05.01, 1348, Belgique) : Université catholique de Louvain-La-Neuve, 2020 . - 101 p.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : A:Acte de langage
A:Action de reconnaissance
C:Corps
N:Narration
P:Phénoménologie
P:Psychologie
R:Rap
S:Socio-linguistique
S:socio-politique
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du rap
S:SoiRésumé : Ce mémoire a pour sujet la narration en « je » dans le rap français contemporain (période 2015-2019) : il s’agit de comprendre et de dénouer les différentes modalités par lesquels le soi s’y présente en tant, à la fois, que corps lacéré par le social et que voix proférée. Ainsi, ce mémoire se divise en deux parties principales, la première se concentrant sur la narration de soi comme corps socialisé, c’est-à -dire évoluant dans un contexte particulier qui influence en ce sens la manière dont le « je » se présente et se représente ; la seconde sur la narration de soi en tant qu’elle est une prise de parole – il faut alors comprendre, non plus ce qui est dit, mais pourquoi c’est dit. Ce mémoire s’attache donc à la fois à déplier les différents topos et lieux communs du rap français contemporain et ce qu’ils signifient pour un « je » s’exprimant ; et à tenter de comprendre ce que permet, à un second niveau, la prise de parole en ce qu’elle est à l’initiale de l’entrée du « je » dans la fiction. C’est, en effet, par le langage que le rappeur se représente : celui-ci ouvre une brèche symbolique propre au geste d’esthétisation, ouvrant sur de nouveaux champs de possibles. Comment le rappeur exprime-t-il la banlieue ? Comment le « je » exprime-t-il l’expérience ? Ce sont les questions qui traverseront l’ensemble de ce mémoire. En ligne : https://dial.uclouvain.be/memoire/ucl/fr/object/thesis%3A21335 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9308 Exemplaires
Support Localisation Section DisponibilitĂ© Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Mémoires et dossiers Exclu du prĂŞt La problĂ©matique du "graffitisme" [mĂ©moire] / Estelle Delbart / Louvain-La-Neuve [Belgique] : UniversitĂ© catholique de Louvain-La-Neuve (2020)
Titre : La problématique du "graffitisme" [mémoire] : Dispositifs locaux et résistances. Le cas de la ville de Namur Type de document : texte imprimé Auteurs : Estelle Delbart Editeur : Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve Année de publication : 2020 Importance : 101 p. Langues : Français Langues originales : Français Catégories : A:Analyse du graffiti
C:Corps
G:Genre
G:Graffiti
G:Graffiti (Belgique)
H:Histoire du graffiti
N:Namur
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
S:socio-politique
S:Sociologie du graffiti
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du street artRésumé : Quiconque s’est déjà baladé en ville, à pied, à vélo ou en voiture, a déjà aperçu des « tags » et des « graffitis » revêtir l’espace urbain de manière omniprésente. En effet, ces écritures, gravures et peintures font partie intégrante de la culture citadine d’aujourd’hui. Si quelques adolescents utilisent leur corps pour laisser des traces en se faisant des tatouages, des piercings, voire des scarifications, certains laissent d’autres genres de traces sur le mobilier urbain. A cet effet, il a été reconnu une certaine correspondance dans la finalité des marquages corporels que font davantage les filles et celle des marquages sur les murs que font davantage les garçons. Cela pourrait être expliqué par le fait que dans notre société occidentale, chez les filles, c’est le corps qui est mis en avant, alors que chez les garçons, on met en avant le fait d’agir.
Ces inscriptions et dessins urbains souvent réalisés sur des propriétés publiques ou privées ne font pas toujours l’unanimité : tantôt perçus comme de l’art urbain, une manière de s’exprimer aux yeux de tous, et tantôt perçus comme une forme de pollution, du vandalisme, une agression visuelle, ou encore une atteinte aux droits de tiers. Selon certains, cela peut également traduire un ordre social déclinant, voire un ordre moral en danger. Enfin, d’autres peuvent aussi retrouver de la violence urbaine dans cette pratique souvent énigmatique pour le profane.
Ce phénomène réalisé sur tout endroit ouvert à la vue du public est parfois considéré comme persistant, voire irrémédiable. C’est pourquoi, au travers de ce mémoire de fin d’études qui bouclera ces années de master en criminologie, nous allons tenter de comprendre comment les autorités qui partagent la responsabilité de ce phénomène qui peut être vu comme un problème, se représentent la pratique du graffitisme et les dispositifs qu’elles mettent en place pour contrer ces pratiques. In fine, cette recherche tentera de comprendre quelles sont les résistances que les graffeurs installent, ou non, face à cela. Vivant près de la ville, ce phénomène que je peux apercevoir depuis mon enfance m’a toujours intriguée. J’ai donc choisi le thème des « tags en milieu urbain » pour, d’une part, satisfaire ma curiosité personnelle, comprendre qui sont les graffeurs et surtout quelles sont les raisons de leur passage à l’acte. D’autre part, au fil des années, il était devenu flagrant que le phénomène du « graffitisme » était en train de muter pour s’associer à de l’art. Les fresques artistiques réalisées grâce aux mêmes techniques que le graffiti vandale se multipliaient et se multiplient encore aujourd’hui, que ce soit dans ma ville natale, dans la capitale, ou dans de nombreuses villes que j’ai pu visiter lors de voyages touristiques. Ces voyages m’ont également permis de remarquer que ce phénomène évoluait différemment d’un pays à l’autre, et même d’une ville à l’autre. J’ai donc choisi ce thème par intérêt pour celui-ci, parce que ce phénomène continue de se développer et constitue un réel sujet d’actualité.En ligne : http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:26819 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9307 La problématique du "graffitisme" [mémoire] : Dispositifs locaux et résistances. Le cas de la ville de Namur [texte imprimé] / Estelle Delbart . - Louvain-La-Neuve (Collège J. Leclercq - n°4, Place Montesquieu, L2.05.01, 1348, Belgique) : Université catholique de Louvain-La-Neuve, 2020 . - 101 p.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : A:Analyse du graffiti
C:Corps
G:Genre
G:Graffiti
G:Graffiti (Belgique)
H:Histoire du graffiti
N:Namur
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
S:socio-politique
S:Sociologie du graffiti
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du street artRésumé : Quiconque s’est déjà baladé en ville, à pied, à vélo ou en voiture, a déjà aperçu des « tags » et des « graffitis » revêtir l’espace urbain de manière omniprésente. En effet, ces écritures, gravures et peintures font partie intégrante de la culture citadine d’aujourd’hui. Si quelques adolescents utilisent leur corps pour laisser des traces en se faisant des tatouages, des piercings, voire des scarifications, certains laissent d’autres genres de traces sur le mobilier urbain. A cet effet, il a été reconnu une certaine correspondance dans la finalité des marquages corporels que font davantage les filles et celle des marquages sur les murs que font davantage les garçons. Cela pourrait être expliqué par le fait que dans notre société occidentale, chez les filles, c’est le corps qui est mis en avant, alors que chez les garçons, on met en avant le fait d’agir.
Ces inscriptions et dessins urbains souvent réalisés sur des propriétés publiques ou privées ne font pas toujours l’unanimité : tantôt perçus comme de l’art urbain, une manière de s’exprimer aux yeux de tous, et tantôt perçus comme une forme de pollution, du vandalisme, une agression visuelle, ou encore une atteinte aux droits de tiers. Selon certains, cela peut également traduire un ordre social déclinant, voire un ordre moral en danger. Enfin, d’autres peuvent aussi retrouver de la violence urbaine dans cette pratique souvent énigmatique pour le profane.
Ce phénomène réalisé sur tout endroit ouvert à la vue du public est parfois considéré comme persistant, voire irrémédiable. C’est pourquoi, au travers de ce mémoire de fin d’études qui bouclera ces années de master en criminologie, nous allons tenter de comprendre comment les autorités qui partagent la responsabilité de ce phénomène qui peut être vu comme un problème, se représentent la pratique du graffitisme et les dispositifs qu’elles mettent en place pour contrer ces pratiques. In fine, cette recherche tentera de comprendre quelles sont les résistances que les graffeurs installent, ou non, face à cela. Vivant près de la ville, ce phénomène que je peux apercevoir depuis mon enfance m’a toujours intriguée. J’ai donc choisi le thème des « tags en milieu urbain » pour, d’une part, satisfaire ma curiosité personnelle, comprendre qui sont les graffeurs et surtout quelles sont les raisons de leur passage à l’acte. D’autre part, au fil des années, il était devenu flagrant que le phénomène du « graffitisme » était en train de muter pour s’associer à de l’art. Les fresques artistiques réalisées grâce aux mêmes techniques que le graffiti vandale se multipliaient et se multiplient encore aujourd’hui, que ce soit dans ma ville natale, dans la capitale, ou dans de nombreuses villes que j’ai pu visiter lors de voyages touristiques. Ces voyages m’ont également permis de remarquer que ce phénomène évoluait différemment d’un pays à l’autre, et même d’une ville à l’autre. J’ai donc choisi ce thème par intérêt pour celui-ci, parce que ce phénomène continue de se développer et constitue un réel sujet d’actualité.En ligne : http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:26819 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9307 Exemplaires
Support Localisation Section DisponibilitĂ© Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Mémoires et dossiers Exclu du prĂŞt
Titre : Les structures du champs chorégraphique français Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvia Faure Année de publication : 2008 Langues : Français Langues originales : Français Catégories : C:Champs
C:Corps
D:Danse
F:France
H:Hip-hop
P:Politique
P:Politique de la ville
P:Professionnalisation
R:Rationalisation
S:Socio-histoire
S:Sociologie
S:Structures socialesRésumé : Rendant compte des conditions matérielles de production et de diffusion des œuvres chorégraphiques au début des années 2000, l’article propose une analyse des positions esthétiques des créateurs en s’intéressant aux relations entre les politiques culturelles qui soutiennent les logiques de production et de diffusion des spectacles « vivants » et le champ chorégraphique français, mais sans toutefois réduire le champ des possibles des artistes à une « demande » sociale et politique. La recontextualisation socio-historique du champ chorégraphique permet de mieux comprendre les relations complexes entre forme artistique et forme politique, notamment par le biais des processus de rationalisation du ballet et du corps dansant, et par la constitution progressive de corps de professionnels interdépendants, en l’occurrence ceux des danseurs, des chorégraphes, ainsi que des critiques et plus largement des « experts » jugeant les œuvres, octroyant des prix aux chorégraphes lors de concours, donnant leur avis pour l’obtention de subventions accordées aux compagnies et aux projets artistiques. En ligne : https://www.cairn.info/revue-actes-de-la-recherche-en-sciences-sociales-2008-5-p [...] Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9289 Les structures du champs chorégraphique français [texte imprimé] / Sylvia Faure . - 2008.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : C:Champs
C:Corps
D:Danse
F:France
H:Hip-hop
P:Politique
P:Politique de la ville
P:Professionnalisation
R:Rationalisation
S:Socio-histoire
S:Sociologie
S:Structures socialesRésumé : Rendant compte des conditions matérielles de production et de diffusion des œuvres chorégraphiques au début des années 2000, l’article propose une analyse des positions esthétiques des créateurs en s’intéressant aux relations entre les politiques culturelles qui soutiennent les logiques de production et de diffusion des spectacles « vivants » et le champ chorégraphique français, mais sans toutefois réduire le champ des possibles des artistes à une « demande » sociale et politique. La recontextualisation socio-historique du champ chorégraphique permet de mieux comprendre les relations complexes entre forme artistique et forme politique, notamment par le biais des processus de rationalisation du ballet et du corps dansant, et par la constitution progressive de corps de professionnels interdépendants, en l’occurrence ceux des danseurs, des chorégraphes, ainsi que des critiques et plus largement des « experts » jugeant les œuvres, octroyant des prix aux chorégraphes lors de concours, donnant leur avis pour l’obtention de subventions accordées aux compagnies et aux projets artistiques. En ligne : https://www.cairn.info/revue-actes-de-la-recherche-en-sciences-sociales-2008-5-p [...] Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9289 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Fardes Exclu du prêt