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du manquait par la politique dans le hip-hop québécois / Myriam Laabdi / Cahiers de recherche sociologique (2010)
Titre : du manquait par la politique dans le hip-hop québécois Type de document : texte imprimé Auteurs : Myriam Laabdi Editeur : Cahiers de recherche sociologique Année de publication : 2010 Langues : Français Langues originales : Français Catégories : C:Contestation politique
H:Hip-hop
P:Politique
Philosophie politique
R:Rap
R:Rap (Québec)
S:Socio-histoire
S:socio-politique
S:Sociologie
S:Sociologie de la culture
S:Sociologie de la musique
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du rapRĂ©sumĂ© : La place de la culture hip-hop n’est plus Ă faire dans le paysage culturel quĂ©bĂ©cois. Les dĂ©cennies ont passĂ© et l’engouement du dĂ©part n’a pas cessĂ© de croĂ®tre Ă l’égard de ce mouvement qui tente toujours d’occuper la place qu’il croit lui revenir au sein de l’industrie culturelle. Pour l’essentiel, le hip-hop quĂ©bĂ©cois s’est construit en adaptant les hip-hop Ă©tats-uniens et français avant de se transformer progressivement en un espace d’expression artistique et identitaire traversĂ© par les revendications et les contestations. Il s’assimilait Ă une quĂŞte de reconnaissance liĂ©e Ă la diffĂ©rence ethnique et Ă l’af?rmation de soi. Dans les annĂ©es 1970, le hip-hop amĂ©ricain s’est dĂ©veloppĂ© sous l’égide d’artistes militants et revendicateurs tels que les Last Poets, groupe de rap prĂ©curseur et activiste qui symbolisait « la rĂ©volte et l’insurrection dans les ghettos ». Le legs des Last Poets est bien visible dans les thèmes initiaux du hip-hop : la quĂŞte d’identitĂ© de l’homme noir avec la ville comme toile de fond, le ghetto Ă©tant une invitation Ă la rĂ©volution et Ă la conscientisation de la situation Ă©conomique, sociale et politique de la communautĂ© noire amĂ©ri-caine. Manuel Boucher souligne que l’universalisme du mouvement hip-hop « touche toutes les jeunesses populaires des pays occidentaux ». Ainsi, au QuĂ©bec, cette culture permet Ă ses adhĂ©rents de « s’insĂ©rer dans la sociĂ©tĂ© dominante tant sur le plan identitaire que social, politique et Ă©conomique ». Le hip-hop convoie deux idĂ©aux : une activitĂ© artistique et un message de rĂ©volution. Ces idĂ©aux sont porteurs d’un projet politique (des convic-tions et une recherche d’égalitĂ© dans une sociĂ©tĂ© qui crĂ©e les clivages sociaux dĂ©noncĂ©s par certains) et d’une esthĂ©tique qui permettent aux adeptes du mouvement de se reconnaĂ®tre et de surmonter leur quotidien. Cette tension crĂ©ative, comme la nomme Hugues Bazin, est attisĂ©e par une culture hip-hop qui se construit grâce Ă l’alliance qui se tisse entre les disciplines artistiques (graff, rap et danse) et aux messages vĂ©hiculĂ©s par ces dernières. Par consĂ©quent, nous avons Ă©tĂ© amenĂ©e Ă croire que les hip-hoppeurs du QuĂ©bec et d’ailleurs s’intĂ©ressent Ă la vie politique et que cet intĂ©rĂŞt af?chĂ© se mani-festerait dans leur attitude et dans leurs productions artistiques, puisque c’est l’essence mĂŞme de cette culture. Les hip-hoppeurs font-ils des gestes qui se voudraient Ă la base des revendications politiques, comme s’investir au sein d’associations politiques ou de regroupements communautaires ? S’informent-ils de la politique ? Ont-ils des opinions politiques ? Plus simplement, votent-ils ? Ă€ la lumière de certains rĂ©sultats d’analyse provenant de nos enquĂŞtes de terrain, nous proposons l’hypothèse selon laquelle les hip-hoppeurs quĂ©bĂ©cois manque-raient d’intĂ©rĂŞt pour la politique et que certains d’entre eux manifesteraient mĂŞme une certaine indiffĂ©rence, ce qui expliquerait le peu de revendication, de rĂ©sistance et de contestation dans leur expĂ©rience culturelle et artistique. Sans recourir expressĂ©ment Ă la notion d’apolitisme, nous expliquerons, en empruntant l’expression de Marie Nathalie LeBlanc et al., qu’ils seraient « marginalisĂ©s sur le plan politique ». Dès lors, quelles seraient les raisons de leur manque d’intĂ©rĂŞt pour la politique ? Et lorsqu’ils sont intĂ©ressĂ©s, quel type de message transmettraient-ils ? En ligne : https://www.academia.edu/6525826/Du_manque_d_intérêt_pour_la_politique_dans_le [...] Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9420 du manquait par la politique dans le hip-hop quĂ©bĂ©cois [texte imprimĂ©] / Myriam Laabdi . - [S.l.] : Cahiers de recherche sociologique, 2010.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : C:Contestation politique
H:Hip-hop
P:Politique
Philosophie politique
R:Rap
R:Rap (Québec)
S:Socio-histoire
S:socio-politique
S:Sociologie
S:Sociologie de la culture
S:Sociologie de la musique
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du rapRĂ©sumĂ© : La place de la culture hip-hop n’est plus Ă faire dans le paysage culturel quĂ©bĂ©cois. Les dĂ©cennies ont passĂ© et l’engouement du dĂ©part n’a pas cessĂ© de croĂ®tre Ă l’égard de ce mouvement qui tente toujours d’occuper la place qu’il croit lui revenir au sein de l’industrie culturelle. Pour l’essentiel, le hip-hop quĂ©bĂ©cois s’est construit en adaptant les hip-hop Ă©tats-uniens et français avant de se transformer progressivement en un espace d’expression artistique et identitaire traversĂ© par les revendications et les contestations. Il s’assimilait Ă une quĂŞte de reconnaissance liĂ©e Ă la diffĂ©rence ethnique et Ă l’af?rmation de soi. Dans les annĂ©es 1970, le hip-hop amĂ©ricain s’est dĂ©veloppĂ© sous l’égide d’artistes militants et revendicateurs tels que les Last Poets, groupe de rap prĂ©curseur et activiste qui symbolisait « la rĂ©volte et l’insurrection dans les ghettos ». Le legs des Last Poets est bien visible dans les thèmes initiaux du hip-hop : la quĂŞte d’identitĂ© de l’homme noir avec la ville comme toile de fond, le ghetto Ă©tant une invitation Ă la rĂ©volution et Ă la conscientisation de la situation Ă©conomique, sociale et politique de la communautĂ© noire amĂ©ri-caine. Manuel Boucher souligne que l’universalisme du mouvement hip-hop « touche toutes les jeunesses populaires des pays occidentaux ». Ainsi, au QuĂ©bec, cette culture permet Ă ses adhĂ©rents de « s’insĂ©rer dans la sociĂ©tĂ© dominante tant sur le plan identitaire que social, politique et Ă©conomique ». Le hip-hop convoie deux idĂ©aux : une activitĂ© artistique et un message de rĂ©volution. Ces idĂ©aux sont porteurs d’un projet politique (des convic-tions et une recherche d’égalitĂ© dans une sociĂ©tĂ© qui crĂ©e les clivages sociaux dĂ©noncĂ©s par certains) et d’une esthĂ©tique qui permettent aux adeptes du mouvement de se reconnaĂ®tre et de surmonter leur quotidien. Cette tension crĂ©ative, comme la nomme Hugues Bazin, est attisĂ©e par une culture hip-hop qui se construit grâce Ă l’alliance qui se tisse entre les disciplines artistiques (graff, rap et danse) et aux messages vĂ©hiculĂ©s par ces dernières. Par consĂ©quent, nous avons Ă©tĂ© amenĂ©e Ă croire que les hip-hoppeurs du QuĂ©bec et d’ailleurs s’intĂ©ressent Ă la vie politique et que cet intĂ©rĂŞt af?chĂ© se mani-festerait dans leur attitude et dans leurs productions artistiques, puisque c’est l’essence mĂŞme de cette culture. Les hip-hoppeurs font-ils des gestes qui se voudraient Ă la base des revendications politiques, comme s’investir au sein d’associations politiques ou de regroupements communautaires ? S’informent-ils de la politique ? Ont-ils des opinions politiques ? Plus simplement, votent-ils ? Ă€ la lumière de certains rĂ©sultats d’analyse provenant de nos enquĂŞtes de terrain, nous proposons l’hypothèse selon laquelle les hip-hoppeurs quĂ©bĂ©cois manque-raient d’intĂ©rĂŞt pour la politique et que certains d’entre eux manifesteraient mĂŞme une certaine indiffĂ©rence, ce qui expliquerait le peu de revendication, de rĂ©sistance et de contestation dans leur expĂ©rience culturelle et artistique. Sans recourir expressĂ©ment Ă la notion d’apolitisme, nous expliquerons, en empruntant l’expression de Marie Nathalie LeBlanc et al., qu’ils seraient « marginalisĂ©s sur le plan politique ». Dès lors, quelles seraient les raisons de leur manque d’intĂ©rĂŞt pour la politique ? Et lorsqu’ils sont intĂ©ressĂ©s, quel type de message transmettraient-ils ? En ligne : https://www.academia.edu/6525826/Du_manque_d_intérêt_pour_la_politique_dans_le [...] Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9420 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Fardes Exclu du prêt La narration de soi dans le rap français contemporain [mémoire] / Alice Hendschel / Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve (2020)
Titre : La narration de soi dans le rap français contemporain [mémoire] : Se raconter comme corps social et comme voix proférée Type de document : texte imprimé Auteurs : Alice Hendschel Editeur : Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve Année de publication : 2020 Importance : 101 p. Langues : Français Langues originales : Français Catégories : A:Acte de langage
A:Action de reconnaissance
C:Corps
N:Narration
P:Phénoménologie
P:Psychologie
R:Rap
S:Socio-linguistique
S:socio-politique
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du rap
S:SoiRésumé : Ce mémoire a pour sujet la narration en « je » dans le rap français contemporain (période 2015-2019) : il s’agit de comprendre et de dénouer les différentes modalités par lesquels le soi s’y présente en tant, à la fois, que corps lacéré par le social et que voix proférée. Ainsi, ce mémoire se divise en deux parties principales, la première se concentrant sur la narration de soi comme corps socialisé, c’est-à -dire évoluant dans un contexte particulier qui influence en ce sens la manière dont le « je » se présente et se représente ; la seconde sur la narration de soi en tant qu’elle est une prise de parole – il faut alors comprendre, non plus ce qui est dit, mais pourquoi c’est dit. Ce mémoire s’attache donc à la fois à déplier les différents topos et lieux communs du rap français contemporain et ce qu’ils signifient pour un « je » s’exprimant ; et à tenter de comprendre ce que permet, à un second niveau, la prise de parole en ce qu’elle est à l’initiale de l’entrée du « je » dans la fiction. C’est, en effet, par le langage que le rappeur se représente : celui-ci ouvre une brèche symbolique propre au geste d’esthétisation, ouvrant sur de nouveaux champs de possibles. Comment le rappeur exprime-t-il la banlieue ? Comment le « je » exprime-t-il l’expérience ? Ce sont les questions qui traverseront l’ensemble de ce mémoire. En ligne : https://dial.uclouvain.be/memoire/ucl/fr/object/thesis%3A21335 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9308 La narration de soi dans le rap français contemporain [mémoire] : Se raconter comme corps social et comme voix proférée [texte imprimé] / Alice Hendschel . - Louvain-La-Neuve (Collège J. Leclercq - n°4, Place Montesquieu, L2.05.01, 1348, Belgique) : Université catholique de Louvain-La-Neuve, 2020 . - 101 p.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : A:Acte de langage
A:Action de reconnaissance
C:Corps
N:Narration
P:Phénoménologie
P:Psychologie
R:Rap
S:Socio-linguistique
S:socio-politique
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du rap
S:SoiRésumé : Ce mémoire a pour sujet la narration en « je » dans le rap français contemporain (période 2015-2019) : il s’agit de comprendre et de dénouer les différentes modalités par lesquels le soi s’y présente en tant, à la fois, que corps lacéré par le social et que voix proférée. Ainsi, ce mémoire se divise en deux parties principales, la première se concentrant sur la narration de soi comme corps socialisé, c’est-à -dire évoluant dans un contexte particulier qui influence en ce sens la manière dont le « je » se présente et se représente ; la seconde sur la narration de soi en tant qu’elle est une prise de parole – il faut alors comprendre, non plus ce qui est dit, mais pourquoi c’est dit. Ce mémoire s’attache donc à la fois à déplier les différents topos et lieux communs du rap français contemporain et ce qu’ils signifient pour un « je » s’exprimant ; et à tenter de comprendre ce que permet, à un second niveau, la prise de parole en ce qu’elle est à l’initiale de l’entrée du « je » dans la fiction. C’est, en effet, par le langage que le rappeur se représente : celui-ci ouvre une brèche symbolique propre au geste d’esthétisation, ouvrant sur de nouveaux champs de possibles. Comment le rappeur exprime-t-il la banlieue ? Comment le « je » exprime-t-il l’expérience ? Ce sont les questions qui traverseront l’ensemble de ce mémoire. En ligne : https://dial.uclouvain.be/memoire/ucl/fr/object/thesis%3A21335 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9308 Exemplaires
Support Localisation Section DisponibilitĂ© Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Mémoires et dossiers Exclu du prĂŞt Penser le rap. EsthĂ©tique, individu et sociĂ©tĂ© industrielle. / Ariel Planeix / Editions d'une nuit sans lune (2008)
Titre : Penser le rap. Esthétique, individu et société industrielle. Type de document : texte imprimé Auteurs : Ariel Planeix Editeur : Editions d'une nuit sans lune Année de publication : 2008 Collection : Noir Langues : Français Langues originales : Français Catégories : P:Philosophie
P:Philosophie du hip hop
Philosophie de la culture
R:Rap
R:Rap et philosophie
S:Socio-linguistique
S:socio-politiqueRĂ©sumĂ© : Genre musical aujourd’hui incontournable, le rap est reprĂ©sentatif de la difficultĂ© Ă distinguer ce qui fait l’art lorsque, dĂ©contextualisĂ©, il est confrontĂ© aux productions antĂ©rieures, celles qui traversent l’Histoire, celles qui l’écrivent. Quand elle est questionnĂ©e, son existence est gĂ©-nĂ©ralement opposĂ©e Ă des manifestations de l’art dĂ©crites comme plus lĂ©gitimes, plus profondes. Ces considĂ©rations prennent appui sur une tradition de la reconnaissance de l’art en occident que les phĂ©nomènes de «mondialisation de la culture» mettent Ă mal par les perspectives nouvelles qu’elle ouvre sur tant d’autres façons de «produire de l’art», de crĂ©er, ou de faire usage de ces crĂ©ations. Or ce qui nous intĂ©resse dans une discussion sur l’univers de signification rapologique, tient Ă la qualitĂ© du dĂ©boĂ®tement perspectif dont la transversalitĂ©, obtenue par des mises en regard successives, a pour vertu d’inscrire la rĂ©flexion dans une Ă©chelle plus vaste, dans un dialogue dynamique entre fondamental et particulier, qui enfin, sort le discours de sa sphère autorĂ©fĂ©rencĂ©e et du cloisonnement hiĂ©rarchisant des manifestations. En ligne : https://www.academia.edu/1435093/Planeix_A_Penser_le_rap_esthétique_individu_et [...] Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9419 Penser le rap. EsthĂ©tique, individu et sociĂ©tĂ© industrielle. [texte imprimĂ©] / Ariel Planeix . - [S.l.] : Editions d'une nuit sans lune, 2008. - (Noir) .
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : P:Philosophie
P:Philosophie du hip hop
Philosophie de la culture
R:Rap
R:Rap et philosophie
S:Socio-linguistique
S:socio-politiqueRĂ©sumĂ© : Genre musical aujourd’hui incontournable, le rap est reprĂ©sentatif de la difficultĂ© Ă distinguer ce qui fait l’art lorsque, dĂ©contextualisĂ©, il est confrontĂ© aux productions antĂ©rieures, celles qui traversent l’Histoire, celles qui l’écrivent. Quand elle est questionnĂ©e, son existence est gĂ©-nĂ©ralement opposĂ©e Ă des manifestations de l’art dĂ©crites comme plus lĂ©gitimes, plus profondes. Ces considĂ©rations prennent appui sur une tradition de la reconnaissance de l’art en occident que les phĂ©nomènes de «mondialisation de la culture» mettent Ă mal par les perspectives nouvelles qu’elle ouvre sur tant d’autres façons de «produire de l’art», de crĂ©er, ou de faire usage de ces crĂ©ations. Or ce qui nous intĂ©resse dans une discussion sur l’univers de signification rapologique, tient Ă la qualitĂ© du dĂ©boĂ®tement perspectif dont la transversalitĂ©, obtenue par des mises en regard successives, a pour vertu d’inscrire la rĂ©flexion dans une Ă©chelle plus vaste, dans un dialogue dynamique entre fondamental et particulier, qui enfin, sort le discours de sa sphère autorĂ©fĂ©rencĂ©e et du cloisonnement hiĂ©rarchisant des manifestations. En ligne : https://www.academia.edu/1435093/Planeix_A_Penser_le_rap_esthétique_individu_et [...] Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9419 Exemplaires
Support Localisation Section Disponibilité Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Fardes Exclu du prêt Poétique du slam : De la scène à l'école [thèse] / Camille Vorger / Saint-Martin-d'Hères [France] : Université de Grenoble (2011)
Titre : Poétique du slam : De la scène à l'école [thèse] : Néologie, néostyles et créativité lexicale Type de document : texte imprimé Auteurs : Camille Vorger Editeur : Saint-Martin-d'Hères [France] : Université de Grenoble Année de publication : 2011 Importance : 659 p. Langues : Français Langues originales : Français Catégories : D:Didactique
E:Enseignement
H:Histoire du slam
P:Poésie
P:Poétique
S:Slam
S:socio-politiqueRésumé : Né à Chicago dans les années 80, le slam apparaît désormais comme un phénomène poétique majeur en France où il tend à être médiatisé et emblématisé par Grand Corps Malade. Au-delà de l’effet de mode et d’un mot dont le sens original - le plus souvent ignoré - mérite assurément d’être explicité, c’est un slam aux contours mouvants, un objet poétique non identifié, qui constitue l’objet de cette thèse. S’il s’avère donc nécessaire de cerner ses points d’ancrage (traditions de poésie orale, relations avec la chanson, le rap), notre propos vise à explorer les enjeux du slam et sa portée en termes néopoétique, néologique et didactique. Il se définit comme poésie orale-aurale, vocale et vivante, et c’est précisément dans le dispositif – les dispositifs – qui le fondent plus que dans les formes très variées qu’il peut revêtir que réside son essence. D’après son fondateur, le slam est « intégrateur » et vise une démocratisation de la poésie. En tant que tel, il est ouvert (alors même que le sens premier du verbe to slam peut être traduit par « claquer la porte ») à une langue actuelle, appréhendée dans toutes ses dimensions et variations (inter et interlinguales). Le slam fait feu de tous lieux, de tous mots, et les slameurs aiment à jouer avec une langue plurielle : démarche colludique dans laquelle ils impliquent un public prêt à entrer dans cette danse avec les mots. A travers ce nouveau positionnement d’auteur-animateur, le slameur se fait tribun et œuvre en faveur d’une libération du verbe susceptible d’ouvrir de nouveaux horizons lexicaux : de fait, la néologie prolifère autour et au cœur du slam. Notre étude en détaille les formes (matrices lexicogéniques) et les fonctions dans un tel contexte. Afin de mettre en lumière les traits d’une poétique en devenir, nous avons approfondi l’œuvre de trois slameurs (Mots Paumés, Souleymane Diamanka, Grand Corps Malade) et proposé comme clé d’analyse le concept de néostyle visant à rendre compte de l’importance de la néologie et de la façon originale dont elle est stylisée/poétisée dans le slam. Il s’agit de mettre en relation la linguistique et la poétique autour de cet objet avant d’en aborder les enjeux didactiques. Partant du constat de l’intégration récente du slam dans les programmes et manuels scolaires, nous interrogeons les modalités et les objectifs de cette didactisation naissante et développons – après l’avoir expérimenté – son potentiel en matière de créativité. S’il tend à être considéré comme un outil d’apprentissage, il peut aussi constituer un objet d’étude à part entière et son exploitation doit intégrer cette dialectique. Menés dans des contextes et avec des publics diversifiés – en quoi le slam est aussi potentiellement « intégrateur » – les ateliers slam sont porteurs d’un double enjeu de renouvellement des pratiques autour de la poésie et d’un renouement avec des pratiques dites « traditionnelles » dont il est susceptible de réactiver l’intérêt. Dès lors que les slameurs assument un rôle de passeurs, il peut enfin représenter une passerelle vers la poésie classique ou vers d’autres pratiques artistiques. En ligne : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00746972 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9311 Poétique du slam : De la scène à l'école [thèse] : Néologie, néostyles et créativité lexicale [texte imprimé] / Camille Vorger . - Saint-Martin-d'Hères (621 Av. Centrale, 38400, France) : Université de Grenoble, 2011 . - 659 p.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : D:Didactique
E:Enseignement
H:Histoire du slam
P:Poésie
P:Poétique
S:Slam
S:socio-politiqueRésumé : Né à Chicago dans les années 80, le slam apparaît désormais comme un phénomène poétique majeur en France où il tend à être médiatisé et emblématisé par Grand Corps Malade. Au-delà de l’effet de mode et d’un mot dont le sens original - le plus souvent ignoré - mérite assurément d’être explicité, c’est un slam aux contours mouvants, un objet poétique non identifié, qui constitue l’objet de cette thèse. S’il s’avère donc nécessaire de cerner ses points d’ancrage (traditions de poésie orale, relations avec la chanson, le rap), notre propos vise à explorer les enjeux du slam et sa portée en termes néopoétique, néologique et didactique. Il se définit comme poésie orale-aurale, vocale et vivante, et c’est précisément dans le dispositif – les dispositifs – qui le fondent plus que dans les formes très variées qu’il peut revêtir que réside son essence. D’après son fondateur, le slam est « intégrateur » et vise une démocratisation de la poésie. En tant que tel, il est ouvert (alors même que le sens premier du verbe to slam peut être traduit par « claquer la porte ») à une langue actuelle, appréhendée dans toutes ses dimensions et variations (inter et interlinguales). Le slam fait feu de tous lieux, de tous mots, et les slameurs aiment à jouer avec une langue plurielle : démarche colludique dans laquelle ils impliquent un public prêt à entrer dans cette danse avec les mots. A travers ce nouveau positionnement d’auteur-animateur, le slameur se fait tribun et œuvre en faveur d’une libération du verbe susceptible d’ouvrir de nouveaux horizons lexicaux : de fait, la néologie prolifère autour et au cœur du slam. Notre étude en détaille les formes (matrices lexicogéniques) et les fonctions dans un tel contexte. Afin de mettre en lumière les traits d’une poétique en devenir, nous avons approfondi l’œuvre de trois slameurs (Mots Paumés, Souleymane Diamanka, Grand Corps Malade) et proposé comme clé d’analyse le concept de néostyle visant à rendre compte de l’importance de la néologie et de la façon originale dont elle est stylisée/poétisée dans le slam. Il s’agit de mettre en relation la linguistique et la poétique autour de cet objet avant d’en aborder les enjeux didactiques. Partant du constat de l’intégration récente du slam dans les programmes et manuels scolaires, nous interrogeons les modalités et les objectifs de cette didactisation naissante et développons – après l’avoir expérimenté – son potentiel en matière de créativité. S’il tend à être considéré comme un outil d’apprentissage, il peut aussi constituer un objet d’étude à part entière et son exploitation doit intégrer cette dialectique. Menés dans des contextes et avec des publics diversifiés – en quoi le slam est aussi potentiellement « intégrateur » – les ateliers slam sont porteurs d’un double enjeu de renouvellement des pratiques autour de la poésie et d’un renouement avec des pratiques dites « traditionnelles » dont il est susceptible de réactiver l’intérêt. Dès lors que les slameurs assument un rôle de passeurs, il peut enfin représenter une passerelle vers la poésie classique ou vers d’autres pratiques artistiques. En ligne : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00746972 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9311 Exemplaires
Support Localisation Section DisponibilitĂ© Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Mémoires et dossiers Exclu du prĂŞt La problĂ©matique du "graffitisme" [mĂ©moire] / Estelle Delbart / Louvain-La-Neuve [Belgique] : UniversitĂ© catholique de Louvain-La-Neuve (2020)
Titre : La problématique du "graffitisme" [mémoire] : Dispositifs locaux et résistances. Le cas de la ville de Namur Type de document : texte imprimé Auteurs : Estelle Delbart Editeur : Louvain-La-Neuve [Belgique] : Université catholique de Louvain-La-Neuve Année de publication : 2020 Importance : 101 p. Langues : Français Langues originales : Français Catégories : A:Analyse du graffiti
C:Corps
G:Genre
G:Graffiti
G:Graffiti (Belgique)
H:Histoire du graffiti
N:Namur
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
S:socio-politique
S:Sociologie du graffiti
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du street artRésumé : Quiconque s’est déjà baladé en ville, à pied, à vélo ou en voiture, a déjà aperçu des « tags » et des « graffitis » revêtir l’espace urbain de manière omniprésente. En effet, ces écritures, gravures et peintures font partie intégrante de la culture citadine d’aujourd’hui. Si quelques adolescents utilisent leur corps pour laisser des traces en se faisant des tatouages, des piercings, voire des scarifications, certains laissent d’autres genres de traces sur le mobilier urbain. A cet effet, il a été reconnu une certaine correspondance dans la finalité des marquages corporels que font davantage les filles et celle des marquages sur les murs que font davantage les garçons. Cela pourrait être expliqué par le fait que dans notre société occidentale, chez les filles, c’est le corps qui est mis en avant, alors que chez les garçons, on met en avant le fait d’agir.
Ces inscriptions et dessins urbains souvent réalisés sur des propriétés publiques ou privées ne font pas toujours l’unanimité : tantôt perçus comme de l’art urbain, une manière de s’exprimer aux yeux de tous, et tantôt perçus comme une forme de pollution, du vandalisme, une agression visuelle, ou encore une atteinte aux droits de tiers. Selon certains, cela peut également traduire un ordre social déclinant, voire un ordre moral en danger. Enfin, d’autres peuvent aussi retrouver de la violence urbaine dans cette pratique souvent énigmatique pour le profane.
Ce phénomène réalisé sur tout endroit ouvert à la vue du public est parfois considéré comme persistant, voire irrémédiable. C’est pourquoi, au travers de ce mémoire de fin d’études qui bouclera ces années de master en criminologie, nous allons tenter de comprendre comment les autorités qui partagent la responsabilité de ce phénomène qui peut être vu comme un problème, se représentent la pratique du graffitisme et les dispositifs qu’elles mettent en place pour contrer ces pratiques. In fine, cette recherche tentera de comprendre quelles sont les résistances que les graffeurs installent, ou non, face à cela. Vivant près de la ville, ce phénomène que je peux apercevoir depuis mon enfance m’a toujours intriguée. J’ai donc choisi le thème des « tags en milieu urbain » pour, d’une part, satisfaire ma curiosité personnelle, comprendre qui sont les graffeurs et surtout quelles sont les raisons de leur passage à l’acte. D’autre part, au fil des années, il était devenu flagrant que le phénomène du « graffitisme » était en train de muter pour s’associer à de l’art. Les fresques artistiques réalisées grâce aux mêmes techniques que le graffiti vandale se multipliaient et se multiplient encore aujourd’hui, que ce soit dans ma ville natale, dans la capitale, ou dans de nombreuses villes que j’ai pu visiter lors de voyages touristiques. Ces voyages m’ont également permis de remarquer que ce phénomène évoluait différemment d’un pays à l’autre, et même d’une ville à l’autre. J’ai donc choisi ce thème par intérêt pour celui-ci, parce que ce phénomène continue de se développer et constitue un réel sujet d’actualité.En ligne : http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:26819 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9307 La problématique du "graffitisme" [mémoire] : Dispositifs locaux et résistances. Le cas de la ville de Namur [texte imprimé] / Estelle Delbart . - Louvain-La-Neuve (Collège J. Leclercq - n°4, Place Montesquieu, L2.05.01, 1348, Belgique) : Université catholique de Louvain-La-Neuve, 2020 . - 101 p.
Langues : Français Langues originales : Français
Catégories : A:Analyse du graffiti
C:Corps
G:Genre
G:Graffiti
G:Graffiti (Belgique)
H:Histoire du graffiti
N:Namur
P:Politique culturelle
P:Politique de la ville
S:socio-politique
S:Sociologie du graffiti
S:Sociologie du hip-hop
S:Sociologie du street artRésumé : Quiconque s’est déjà baladé en ville, à pied, à vélo ou en voiture, a déjà aperçu des « tags » et des « graffitis » revêtir l’espace urbain de manière omniprésente. En effet, ces écritures, gravures et peintures font partie intégrante de la culture citadine d’aujourd’hui. Si quelques adolescents utilisent leur corps pour laisser des traces en se faisant des tatouages, des piercings, voire des scarifications, certains laissent d’autres genres de traces sur le mobilier urbain. A cet effet, il a été reconnu une certaine correspondance dans la finalité des marquages corporels que font davantage les filles et celle des marquages sur les murs que font davantage les garçons. Cela pourrait être expliqué par le fait que dans notre société occidentale, chez les filles, c’est le corps qui est mis en avant, alors que chez les garçons, on met en avant le fait d’agir.
Ces inscriptions et dessins urbains souvent réalisés sur des propriétés publiques ou privées ne font pas toujours l’unanimité : tantôt perçus comme de l’art urbain, une manière de s’exprimer aux yeux de tous, et tantôt perçus comme une forme de pollution, du vandalisme, une agression visuelle, ou encore une atteinte aux droits de tiers. Selon certains, cela peut également traduire un ordre social déclinant, voire un ordre moral en danger. Enfin, d’autres peuvent aussi retrouver de la violence urbaine dans cette pratique souvent énigmatique pour le profane.
Ce phénomène réalisé sur tout endroit ouvert à la vue du public est parfois considéré comme persistant, voire irrémédiable. C’est pourquoi, au travers de ce mémoire de fin d’études qui bouclera ces années de master en criminologie, nous allons tenter de comprendre comment les autorités qui partagent la responsabilité de ce phénomène qui peut être vu comme un problème, se représentent la pratique du graffitisme et les dispositifs qu’elles mettent en place pour contrer ces pratiques. In fine, cette recherche tentera de comprendre quelles sont les résistances que les graffeurs installent, ou non, face à cela. Vivant près de la ville, ce phénomène que je peux apercevoir depuis mon enfance m’a toujours intriguée. J’ai donc choisi le thème des « tags en milieu urbain » pour, d’une part, satisfaire ma curiosité personnelle, comprendre qui sont les graffeurs et surtout quelles sont les raisons de leur passage à l’acte. D’autre part, au fil des années, il était devenu flagrant que le phénomène du « graffitisme » était en train de muter pour s’associer à de l’art. Les fresques artistiques réalisées grâce aux mêmes techniques que le graffiti vandale se multipliaient et se multiplient encore aujourd’hui, que ce soit dans ma ville natale, dans la capitale, ou dans de nombreuses villes que j’ai pu visiter lors de voyages touristiques. Ces voyages m’ont également permis de remarquer que ce phénomène évoluait différemment d’un pays à l’autre, et même d’une ville à l’autre. J’ai donc choisi ce thème par intérêt pour celui-ci, parce que ce phénomène continue de se développer et constitue un réel sujet d’actualité.En ligne : http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:26819 Permalink : http://lezartsurbains.tipos.be/opac_css/ index.php?lvl=notice_display&id=9307 Exemplaires
Support Localisation Section DisponibilitĂ© Catalogue Biblio Saint-Gilles Article Centre de doc. Mémoires et dossiers Exclu du prĂŞt PermalinkPermalinkLe street art comme outil fĂ©dĂ©rateur des opĂ©rateurs d’une ville et de sa redynamisation [mĂ©moire] / CĂ©lia Cosseddu / Louvain-La-Neuve [Belgique] : UniversitĂ© catholique de Louvain-La-Neuve (2017)
PermalinkDe la transformation du mouvement hip-hop en pouvoir politique / Bakari Kitwana / Presses universitaires de France (2003)
PermalinkTravailler l'espace public [thèse] / Thomas Riffaud / Dunkerque Cedex 1 [France] : UNIVERSITE DU LITTORAL CÔTE D’OPALE (2017)
PermalinkVers une nouvelle définition du politique / Marine Kneubühler / Faculté des Sciences Sociales et Politiques de l'Université de Lausanne (2017)
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